Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?

Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?

qui veut dire que l’être humain est le seul maître de sa vie qu’il n’a pas de compte à rendre à personne, il doit suivre ses propres projets, ses propres lois, exister pour l’être humain c’est d’être libre de faire ce qu’il veut en étant munis d’une conscience. L’autre type d’existentialiste est chrétien purement catholique, pour lui Dieu est l’auteur de sa vie, c’est Dieu lui-même qui a écrit livre de sa vie, alors les être humains sont de ce fait conscient de ce qu’il doit faire de bien, comme aimer son prochain comme soi-même et éviter les choses mal, comme mentir, voler et tuer. Les hommes chrétiens ont qu’un objectif : faire la volonté de Dieu pour sauver leur âme et éviter de brûler en enfer.

Ensuite, Freud nous fait savoir que l’inconscient est le psychique lui-même les humains sont habités par les désirs, les fantasmes et les pulsions. L’homme est caractérisé, au niveau psychique à partir de trois composantes majeurs qui sont : le ça, le moi et le surmoi. En effet, Freud nous ouvre l’esprit quand il s’agit de la liberté humaine, du coup l’homme est conscient et peut être inconscient de ses actes. L’homme n’est pas le maître de ses actes et la plupart des actions que nous faisons proviennent de pulsions de l’inconsciences. Une des plus importantes composantes de l’appareil psychique est le ça, il renferme les pulsions et les désirs de chacun d’entre nous, il cherche à combler les besoins pulsionnels de l’individu et se manifeste de manière inconsciente. Cependant puisque nous vivons dans une société où il y a des règles et des normes sociales établies, il n’est pas toujours permis de laisser libre cours à nos pulsions, c’est ce que Freud appelle le surmoi, Il provient du refoulement du complexe d’Œdipe qui fait référence au désir d’un fils pour sa mère et d’une fille pour son père dans l’enfance. L’individus doit alors apprendre à gérer ses pulsions qui veulent être assouvis, c’est le moi. Le moi est le médiateur entre le surmoi qui répond au principe de perfection lancé par la société et le ça qui aspire à la satisfaction des besoins primaires l’être humain n’est pas maître de sa vie selon ses intentions, mais il serait habité par des forces les pulsions inconscientes.

Pour Sartre l’homme est totalement conscient de ce qu’il fait, car l’homme est libre de faire ses choix il n’est pas contrôlé par l’inconscience qui peut lui mettre en doute par rapport à ses capacités, l’homme en tant que tel n’est pas programmé à être ceci ou cela, il n’a pas d’identité préalable il n’est rien d’autre que ce qu’il fait, il détermine sa propre réalité, il crée sa propre essence, il est libre de ses choix. Pour Sartre l’homme se remet toujours en question par rapport à ses choix de vie et de carrière selon ce que la vie lui réserve. Sartre nous rappelle puisque Dieu n’existe pas, donc l’homme est délaissé par lui-même et surtout qu’il n’a de compte à rendre à personne. En un mot l’homme est condamné à être libre.

Selon moi, je pense que oui on est toujours responsable de nos actes, car quand on commet des délits mineurs ou majeurs, normalement on est conscient de ce que l’on fait, sauf si la personne est sur la prise des

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