De la liberté, John Stuart Mill
Résumé : De la liberté, John Stuart Mill. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alicemllt • 29 Novembre 2020 • Résumé • 572 Mots (3 Pages) • 1 764 Vues
John Stuart Mill est un philosophe britannique, en 1859 il rédige « de la libérté », un essai en 5 parties : 1. Introduction, 2. De la liberté de pensée et de discussion, 3. De l’individualité comme un des éléments du bien-être, 4. Des limites au pouvoir de la société sur l’individu et 5. Applications. Nous sommes dans le début du 2e chapitre.
John Stuart Mill commence par nous rappeler le fait que le gouvernement n’est plus aussi totalitaire et que l’on est plus aussi soumis qu’il y a longtemps. On n’a donc pas à craindre de se faire censurer ou avoir des poursuites pour avoir parlé du gouvernement.
Il explique par la suite, que même si la major partie des gens sont d’accord avec une vérité précise, ils n’ont pas le droit d’imposer le silence aux autres, et vice versa. On se doit de toujours échanger, de débattre et d’écouter la partie adverse, car personne n’est infaillible. Les personnes exerçant un pouvoir absolue se pensent des leurs naissances infaillibles, d’autre part les personnes hautes dans la société qui sont parfois contredis, mais pas forcément corriger, partagent une confiance absolue qu’en une opinion, qui a été validé par leurs entourages. Cet argument indique que la teneur en vérité d’un propos est indépendante de la place dans la société de celui qui le tient.
Il rajoute ensuite que chaque époque a ses coutumes, croyances et opinions que l’époque d’après va juger insensé. En effet pour prendre des décisions on agit selon notre opinion que l’on pense juste à un moment donné mais en faisant cela on n’est jamais sûr de la justesse ou de la véritable vérité. Il explique ici comment les gouvernements agissent, du mieux qu’ils peuvent selon la situation, même si par la suite l’histoire prouve qu’ils ont eu torts (avec des guerres injustes ou des impôts mal levé).
De plus on peut se sentir sur d’une vérité qui a su contrer tous les arguments contre cette vérité, mais on ne doit pas paraitre trop confiant dans le but que personne n’ose nous contredire.
Comme il l’a mentionné précédemment, John Stuart Mill insiste sur le fait qu’on se doit de débattre sur nos idées, une expérience ne suffit pas pour corriger ses erreurs. De plus, « rares sont les faits qu’ils parle d’eux même », il explique ici qu’une personne humaine doit les présentés, pour leurs donner de la valeur et de la force.
Pour lui, les « hommes sages » sont ceux qui peuvent prétendre le plus à la fiabilité, car pour être sûr de leurs vérités ils acceptent de se faire contredire, ils écoutent tout, même ce qui est contraire à leurs vérités. En effet les vérités les plus vraies sont celles qui ont été le plus sujet a des tentatives de contradiction. Et il ne faut pas se priver d’essayer de prouver que certaines idées ne sont pas fondées car c’est comme cela que l’on évolue et que l’on atteint la certitude.
Il finir par nous faire comprendre qu’il n’y a pas vraie vérité de manière générale dans ce monde, même si 99% des gens voit un objet de couleur rouge et 1% le voit orange, rien ne nous prouve que cet objet est finalement rouge, il y a du doute partout, même dans des vérités prouvées.
Ce qui nous amènent à nous demander s’il existe des vérités absolue et incontestable ou s’il existe de certitude ? si oui, dans quel domaine ?
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