Les courants philosophiques

La pensée philosophique à travers le temps

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1. : Les courants philosophiques

        A : Les grands philosophes

1. L’Antiquité

Protagoras : 

« L’homme est la mesure de toute chose » « les sophistes »

Il dit si je veux comprendre le monde je peux le faire qu’avec les moyens dont  je dispose( ce que la nature nous a donné : ouie, odorat, vue …).

Théorie de l’homme mesure, de l’homme conception de vérité.

Le relativisme de Protagoras vise tout d’abord la connaissance. Il pose la subjectivité du savoir en réduisant la science à la sensation, laquelle est aussi vraie que fausse.

Le relativisme de Protagoras implique l’importance de l’éloquence, capacité à séduire par la parole, l’art de convaincre par tous les moyens.

Protagoras parle de relativité c’est-à-dire de perception en fonction de ce que nous sommes

Les institutions sociales sont le fruit de la volonté humaine c’est-à-dire que l’enrichissement rend heureux donc il faut s’enrichir.

Platon : la richesse diabolisée

Une grande partie de la pensée socratique reflete une grande partie des idées de Platon

Promotion de la vertu pour le salut de l’âme

Les dieux existent et c’est eux qui nous donnent le sens du vrai, de la vertu, du juste.

La vrai vie est celle de l’ame qui sibsiste après la mort.

Primauté de la morale sur la Loi

La richesse pervertie les corps et l’âme, s’enrichir c’est mauvais

La mise en commun des biens et des femmes

Tous les biens appartiennent aux citoyens, la mise en commun des femmes afin qu’elles eduquent de la même façon les enfants.

ARISTODE : Elève de platon (fonde une école, le lycée)

Lui c’est une synthèse entre Protagoras et Platon

Sa soif de savoir est immense, il s’interesse à plusieurs disciplines, comme la logique, l’éthique, la politique, la physique, etc

Il apporte une reflexion sur la politique et donne sa visoin de la morale

Aristode pense qu’on apprend bien en marchant

Sa phrase fétiche est « l’homme est un animal politique »

Traduction l’humain est un animal social

L’homme a un instinct de rechercher le bonheur dans le plaisir, par exemple s’enrichir

Nous ne pouvons exister que par le regard d’autrui

L’équilibre entre le bonheur et vertu, ce qui compte c’est la mesure, la condamnation des excès.

Ce qui compte c’est la « philia » l’amour de la bienveillance, de l’amitié, un amour qui n’attend rien en retour, autrui mérite ce don.

Le souci de la justice

Aristode trouve que le prêt à interêt est immoral, forme d’escroquerie.

Pour ARISTODE l’argent permet juste de vivre dignement.

ZENON :

Pour Zenon, la richesse n’a pas d’importance

Création de la stoa

Ecole stoicienne : il faut savoir prendre la vie avec sagesse.

Savoir que nous sommes mortels, soyons prêts.

Nous ne pouvons pas agir contre la mort, contre le mauvais temps.

En revanche nous pouvons agir sagement, en l’appliquant à soi-même, à mon niveau.

L’idée est de ne pas faire qqchose si je suis contre.

L’ataraxie : la recherche de la paix de l’âme, la richesse n’est pas dans l’enrichissement mais dans la valeur de l’ame

Le kathékon : attention portée au monde, proteger cette dimension humaine pour l’humanité.

Protéger tout ce qui est beau, plages, montagnes, forêts, patrimoine

La simplicité volontaire et l’acceptation : je prends ce que je recois et je m’en réjoui que ca soit beaucoup ou peu.

1. Le Moyen-Age ( chute de l’empire de ROME)

AUGUSTIN D’HIPPONE : l’héritage platonicien

Augustin d’hippone entre la Tunisie et L’algerie

Il a écrit « La Cité de Dieu contre les paiens »

Si nous voulons être digne alors il faut vivre dans la cité des dieux

Il faut sauver son âme

Condamnation de la joissance des corps

Promotion de la vertu, y compris par la force ( punition , peur de dieu )

Il est marqué par le déclin de l’empire Romain

Le vrai pouvoir vient de dieu ( sacre du roi par le pape)

Pouvoir spirituel superieur sur le temporel

Le pape est le véritable détenteur du pouvoir mais limité de l’immensité du territoire

Toute les richesses individuelles doivent passer par les mains du pape

THOMAS D’AQUIN : 

Le renouveau aristotélicien

Conciliation de la foi et de la raison

La foi chrétienne n’est ni incompatible, ni contradictoire avec un exercice de la raison.

Les vérités de la foi et celles de la raison peuvent être intégrées dans un système synthétique harmonieux, sans se contredire.

Pour lui la révélation vient de dieu, qui par définition, ne peut ni se tromper ni nous tromper.

Il pose comme principe le respect de l’ordre rationnel créer et voulu par Dieu pour permettre à l’homme de connaître la vérité.

Contexte socio-biographique : les croisades

La naissance de l’islam qui s’étend rapidement.

L’islam prône la tolérance, lecture laïque du coran.

Le pape perd « de la clientèle »

Début des croisades pour faire la guerre afin que le pape regagne son pouvoir absolu.

Le pape demande aux rois de prouver leur foi.

Tentative de rébellion contre la surveillance du Pape

Thomas prône la conciliation de la foi et de la raison, réhabilitation du travail et du juste salaire et juste prix

Le salaire qui respecte la dignité du travailleur et respect de celui qui achète le travail

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