« Tout ce que l'humanité́ a mis des millénaires à conquérir est « culturel », non naturel, autrement dit se transmet non par l'hérédité́ mais par l'éducation »
Fiche : « Tout ce que l'humanité́ a mis des millénaires à conquérir est « culturel », non naturel, autrement dit se transmet non par l'hérédité́ mais par l'éducation ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar _aguus_4 • 16 Mars 2022 • Fiche • 841 Mots (4 Pages) • 361 Vues
COMMENTAIRE DU TEXT
Nom : Techera González
Prénom : Agustina
(ERASMUS)
I. Expliquez la phrase : « Tout ce que l'humanité́ a mis des millénaires à conquérir est « culturel », non naturel, autrement dit se transmet non par l'hérédité́ mais par l'éducation »
Pour commencer l’explication de cette phrase, il est nécessaire définir qu’est-ce que l’éducation. Ce mot, peut-être n’a pas une définition fermée parce qu’il y a beaucoup formes de l’entendre. On peut dire que l’éducation est la conséquence d’un instinct pour un peuple ou une communauté développée et que cet instinct n’est pas autre que la nécessité de se développer, d’améliorer les conditions de vie entre autres. C’est le moyen par lequel une communauté préserve et transmet ses caractéristiques physiques et intellectuelles. C’est la transmission de connaissances à une personne ou à un groupe de personnes. D’autre coté, la culture se définit comme un ensemble de connaissances transmis par des systèmes de croyance, par le raisonnement ou l’expérimentation, qui la développent au sein du comportement humain en relation avec la nature et le monde environnant. En ce qui concerne « Tout ce que l'humanité́ a mis des millénaires à conquérir est « culturel », non naturel » on peut dire que l’homme n’a fait pas des progrès naturellement c’est à dire, ces progrès sont dus à de nouveaux besoins, besoins qui, en tant que société, ont été satisfaits, comme la chasse pour pouvoir manger, lire pour comprendre, parler pour se communiquer. Ses conquêtes que l’homme a obtenues grâce à son effort en tant que personne individuelle et en tant que société. En interagissant avec le milieu qui l’entoure, l’homme apprend ; il assimile et stocke le résultat de cette interaction et l’utilise, volontairement ou involontairement, dans les interactions futures. Nous changeons notre comportement à mesure que nous apprenons, c'est-à-dire par éducation et non par l’hérédité. Peut-être par l’hérédité l’homme peut recevoir quelques valeurs, enseignements mais comme culture et société adapte et améliore ce qu’elle reçoit à ses besoins, c’est-à-dire qu’elle évolue non pas par héritage mais par éducation.
II. Pourquoi l’« inachèvement de l'homme est aussi sa grandeur » ?
Quand l’homme arrive au monde, il n’arrive pas en sachant tout, il doit se développer. Quand nous naissons, nous sommes des êtres sensibles, que nous nous développerons peu à peu mais en attendant, l’homme « Il dépend des autres, des adultes ». Les adultes nous transmettront une série de normes, de valeurs et d’apprentissages que nous acquerrons en tant qu’être humain. Mais l’homme est perfectible, c’est-à-dire, par la technique ou la culture notamment, il parvient à s’améliorer, parce que l’existence humaine est toujours ouverte et ne peut parvenir à un état de complet achèvement. Même si l’homme sait que tout n’est pas en son pouvoir et qu’il doit travailler pour gagner en perfection, c’est ce savoir qui le pousse à agir et à ne jamais se contenter de ce qui lui est donné. C’est ce travail constant pour atteindre ce que l’homme désire qui lui donne la grandeur. Il ne serait pas logique que l’homme arrive dans ce monde "sans un but" ou sans un devoir. Si l’homme était né déjà parfait, il n’aurait pu partir à la recherche de lui-même et de projets le menant à se dépasser lui-même. Cette grandeur est donc une force qui le mène à repousser ses limites et à ne jamais se contenter de ce qui lui est donné immédiatement. L’homme à liberté de développement, c’est pour ça il est libre de décider ce qu’il fera de sa vie, s’il était déjà complet ou achevé il n’aurait pas cette liberté
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