La conscience aussi utile qu'elle soit fait-elle la grandeur ou la misère de l'homme ?

La conscience du latin "cum scientia" par définition connaissance partagée avec un autre est l'un des premiers thèmes abordés par les anciens de la philosophie. Mais bien trop vague celle-ci est réfléchie et approfondi par DesCartes lui donnant de l'ampleur afin de la définir comme étant une activité psychique qui fait que l'on pense le monde et que l'on se pense soi-même à la différence de l'animal qui n'agit que par instinct. Alors de cet esquisse, l'homme se diffère donc des autres êtres vivants, il est donc un etre à part entiere et unique en son genre et mis en valeur par sa conscience. Cependant ce caractère distinct qu'est la conscience n'est-il pas celui que l'homme craint le plus ? La conscience quelques fois n'est l'objet de notre fierté car elle peut agir comme un ennemie, Edgar allan Poe disait lui-même " La conscience humaine supporte un lourd fardeau qu'elle ne peut se décharger que dans le tombeau." Nous rappelons ainsi bien ses limites. Dès lors la conscience aussi utile que soit-elle fait-elle la grandeur ou la misère de l'homme ?

Tout d'abord nous savons que la conscience est le caractère qui nous permet de faire face au monde et à nous-mêmes, elle diffère bien l'homme de l'objet car celui-ci ayant la capacité de se rapporter au monde à aussi la chance de pouvoir s'y projeter. Descartes impose la conscience comme diseuse de vérité, Il l'a définit à travers la citation latine "Cogito ergo sum" pour ainsi dire" je pense donc je suis" ainsi "Je" le sujet est donc acteur de ce qui l'entoure, visant donc d'une certaine manière à soumettre le sujet à une introspection du latin "introespectus" c'est-à-dire une analyse de soi. Ainsi pour la conscience est ce qui permet à l'homme de réfléchir donc d'exister. Ce qui lui attribut donc une valeur supplémentaire qu'est la réflexion pour ainsi dire un retour de la pensée sur elle-même mettant en valeur les facultés intellectuelles de l'homme. Par ce fait l'homme à accès tout d'abord aux doutes, c'est-à-dire réfuter une opinion sur un fait qu'il ne considère pas comme étant clair et distinct. De plus à travers son ouvre la Métaphysique, Descartes pose la conscience comme le socle de la connaissance, étant est l'un des premiers privilège accorder par la philosophie. Et comme le disait Sophocle " Le savoir est de beaucoup la portion la plus considérable du bonheur" il y'a donc par cela une accession à joie de la vie. Selon Socrate " Le seul bien fait est la connaissance, avoir conscience éloigne donc l'homme de l'ignorance. Il peut alors se rendre compte qu'il est libre. Et aussi d'une certaine façon il acquiert la subjectivité, nous avons donc la capacité de juger par rapport à nos sentiments et nos envies. Nous pouvons rajouter que garder conscience nous éloigne de l'inconscient pouvant etre défini par l'ensemble des représentations refoulés par le moi, par ce qu'elles sont incompatibles avec les valeurs de la société. La conscience nous permet donc de rentrer dans la société, d'ailleurs à la pensée se rejoins la raison et la morale, dont l'être conscient détient les facultés que Kant situe ensemble. La raison est la faculté qui

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