ADM- management

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Feuille d’identité

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Question 1

L’entreprise Assurances Sécuriplus démontre d’abord sa correspondance aux principes de la division du travail par la division des différents services offerts, ainsi que par leur organigramme.  En effet, la société est divisée entre trois divisions : vie, industrielle et médicale. La force de la division du travail transparaît par : « Chacune de ces divisions fonctionnait dans un environnement administratif et dans un contexte marketing bien différent de sorte qu’elles étaient gérées comme des entités virtuellement indépendantes ». Nul ne peut avoir une division plus forte que lorsqu’on pourrait croire que les entités sont indépendantes. Cela démontre la force de pouvoir des gestionnaires sur leur équipe. De plus, les revenus sont également bien définis dans le concept de division du travail. En effet, le texte stipule que 50% des revenus proviennent de la division vie, 20% de la division industrielle et 30% de la division médicale. En ce qui a trait à leur organigramme, dans le service médical, il existe 4 niveaux hiérarchiques clairement identifiés. L’équipe est divisée par sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration.

En ce qui a trait à l’organisation scientifique du travail de Taylor, Sécuriplus correspond au premier principe : « Le travail mérite d’être soumis à une analyse et à une décomposition systématique ». En effet, la direction a pris la décision de réaliser une étude quant au temps de traitement de plus de dizaines de milliers de réclamations de chaque catégorie. Le tout dans le but de réduire les délais et ainsi, augmenter la productivité. Les résultats de leur étude sont démontrés selon les délais de traitements par type de réclamation et ainsi, il est possible de cibler leurs lacunes. Enfin, le fait de faire une étude pour cibler les lacunes démontre que la direction réalise l’analyse des tâches dans le but d’accroître l’efficacité du travail. Ensuite, le deuxième principe est celui de la division du travail. Tel que mentionné plus haut, par la hiérarchisation des postes et la division des départements, les ouvriers n’oeuvrent pas dans le style artisanal. Ils répondent directement aux tâches auxquels ils sont soumis et les réalisent. Enfin, quant à la rémunération des employés, nous n’avons pas d’information à ce sujet.  

Henri Fayol a défini quatorze principes administratifs. Afin de bien comprendre le tout, nous allons passer un par un les principes afin de les commenter.

En ce qui a trait au premier principe, la division du travail, nous en avons déjà discuté. Cependant, il est intéressant de cibler que Fayol mentionne que les employés plus expérimentés sont plus productifs. Dans le contexte de Sécuriplus, nous voyons que cette réalité n’est pas si évidente : « […] j’ai fait venir Marie-Line Briens dans mon bureau. Elle a trois ans d’expérience dans ce métier. Je lui ai dit : ‘’ Marie-Line, tu as autant d’expérience que tout le monde ici, pourquoi est-ce que tu te plantes aussi souvent ? ‘’ ». Enfin, cela démontre que ce ne sont pas tous les employés qui sont spécialisés et ainsi, productifs.

Ensuite, l’autorité et la responsabilité sont bien présentes dans la société. Fayol stipule le droit de donner des ordres et les faire exécuter. Au cours du texte, nous voyons que le M. Blanchette occupe un statut autoritaire en dictant aux employés ce qu’ils doivent faire et en les critiquant. Il ne prend pas le temps de comprendre la raison pour laquelle certains employés sont peu efficaces. Cependant, Fayol affirme qu’il n’y a pas d’autorité sans responsabilité (sanction positive ou négative), mais M. Blanchette semble plutôt faire des menaces sans réellement poser des sanctions. Enfin, il ne semble pas encourager les actions utiles, mais il décourage clairement les autres actions. « J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyés à tous les commis aux réclamations pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail. […] qu’ils vont devoir s’améliorer ou partir ». En aucun temps dans le texte, M. Blanchette ne semble encourager les actions utiles.

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