Respire
Analyse sectorielle : Respire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar stephetludo • 2 Juillet 2021 • Analyse sectorielle • 2 692 Mots (11 Pages) • 1 150 Vues
(Cf annexe n°1 : différence cosmétiques conventionnelles et biologique ?? )
(Cf annexe n°2 : évolution du marché cosmétique)
(Cf annexe n°3 : graphique critères d’achats pour un produits cosmétiques)
(Cf annexe n°4 : les besoins cosmétique selon Maslow)
(Cf annexe n°5 : segmentation par génération).
(Cf annexe n°6 : les personas)
prisme de Kapferer (Cf annexe n°7 : prisme)
la plateforme de marque (Cf annexe n°8)
(Cf annexe n°9 : les gammes de produit Respire).
(Cf annexe n°10 : photo du merchandising).
(Cf annexe n°11 : réseaux sociaux).
La demande
attentes des conso
tendances de conso
motivations/freins
critères de segmentation
Le chiffre d’affaires mondial des cosmétiques naturels a augmenté de 8,8 % entre 2018 et 2019.
Le rayon hygiène et beauté en 2019 en termes de vente à augmenter, en revanche le nombre d’utilisation à décru, passant de 44,2 en 2018 et 44,1 en 2019 (cet indice était de 49,1 en 2015.
Ceci s’explique par une simplification des routines beautés
En 2019, les produits de beauté ont enregistré une hausse de 4% en volume (surtout les shampoings, et produit pour la douche) tandis que le maquillage à reculer de 5,5% par rapport à l’année précédente.
Tendances de consommation :
La vente de produits cosmétiques se répartie comme tels :
[pic 1]
A cause de la crise sanitaire (COVID 19), les produits de beauté et de soin sont en tête du classement (24%) d’hygiène qui ont été le plus consommé sont les gels douches, l shampoing, et les osins du visage.
Les tendances pour le secteur de la cosmétiques sont nombreuses.
[pic 2]
L’ultra connexion. En effet, la nouvelle génération (les millenials) est sans cesse connecté partout et se mettent en scène en permanance sur les réseaux sociaux. De ce fait, le visuel est devenu un critère très important. Ce phénomène est accentué par la « social beauty » avec les influenceurs. Par exemple, Loréal qui à créer une application filtre ou encore les marques qui font des lives de leur marques.[pic 3]
L’ultra personnalisation. Les consommateurs ont envie de produits personnalisable et personnalisé. Par exemple, un packaging que l’on peu choisir ;comme les étui de rouge à lèvres guerlain. Aussi la tendance du DIY ou le fait maison comme créer ses propores cosmétiques en adaptant à sa peau.[pic 4]
Le bien-être de « soi ». Les consommateurs ressentent ce besoin de faire attention à eux. Ils ont conscience de l’augmentation de la pollution, du stress omniprésent, de leur mauvaise qualité de sommeil. Ce qui induit une hausse de consommation des produits naturels et/ou bio.
La transparence : les consommateurs sont préoccupés par leur santé, c’est pourquoi ils s’informent de plus en plus sur les produits . Par exemple : ils utilisent des application de type YUKA pour savoir la composition, l’efficacité mais aussi l’impact sur l’environnement des produits qu’ils achètent. Aussi, les avis des autres consommateurs sont un point essentiel pour faire son choix. Ils veulent être des « consom’acteurs ».[pic 5][pic 6]
No make up et « skinimalist » sont apparu avec le confinement, le fait de ne plus mettre de maquillage et de n’utiliser que le minimum pour sa peau et si possible fait maison tout en prenant soin de la planète (sans emballage, produits solide)[pic 7]
Beauté en ligne. Avec le confinement, la digitalisation a été accélérée. La consommation de produits de beauté à été booster par le confinement. Celle-ci enregistre un chiffre d’affaire qui à augmenter de 73% par rapport à l’année précédente. Il y à 31,3% d’acheteurs en ligne en 2020. De ce fait, le secteur de la beauté est devenu le 4ème marché e-commerce en termes de nombre de clients.
Des comportements qui évoluent
Les français dépensent en moyenne 31€ mensuel pour l’achat de produits cosmétique. Mais on remarque une légère disparité entre la consommation des hommes et des femmes.
Les français consacrent 310 € par année et les françaises consacrent 289 € par an (chiffre de en 2018).
Selon l’INSEE, la cosmétique représente 32% du budget des français aujourd’hui contre 9% en 1960.
L’achat des produits cosmétiques se fait le plus souvent en grandes surfaces (40 % de part de marché). Mais les français se tournent de plus en plus leur achat dans des boutiques spécialisées telles que Yves Rocher, Séphora…(représente 5% de part de marché). La fréquence d’achat annuelle de l’hygiène-beauté est de 19,5 fois (contre 20 fois en 2015).
Les Français fréquentent de plus en plus de circuits pour leur achats : 3,38 en moyenne en 2019, contre 3,25 en 2015. Par exemple, ils repèrent sur internet et vont en boutique pour faire leurs achats.
La consommation des produits de beauté est la suivante : les soins du visage (20 %), les produits capillaires (20 %) et les soins du corps (16 %).
En France et à l’international, le secteur de la beauté et des cosmétiques en ligne est en plein essor depuis plusieurs années. Tous les ans, les ventes de produits cosmétiques en boutique diminuent au profit des ventes en ligne.
58 % des femmes affirment avoir commandé des cosmétiques sur le web. Parmi elles, plus de la moitié effectuent leurs achats sur leur smartphone.
Depuis 10 ans, le maché de la cosmétique pour hommes progresse à une forte vitesse (+40%). En France, il représente aujourd'hui 10,4 % du marché total. Le marché des cosmétique pour homme progresse 1,5 fois plus vite que celui des femmes.
Selon Nielsen, la consommation de produits de beauté pour les hommes ne cesse d’augmenter en valeur avec 34,1 M€ soit une augmentation de + 5,6 %. En volume, le nombre de produits est de 4,6M d’unités vendus soir une augmentation de +6,8%.
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