Rapport De Stage Terminal Mei Marine St Mandrier
Mémoire : Rapport De Stage Terminal Mei Marine St Mandrier. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar antodu3410 • 21 Mai 2014 • 1 503 Mots (7 Pages) • 3 068 Vues
Antoine
Lycée joliot Curie, Sète
TMEI2 2013/2014
Stage en entreprise du 2/12/13 au 7/02/14 :
Centre d'Instruction Naval saint-mandrier
Marine Nationale
BCRM Toulon – CIN Saint-Mandrier -BP 500 – 8380 TOULON Cédex 9
SOMMAIRE
Histoire du Centre d'Instruction Naval Saint-Mandrier
Présentation du Centre d'Instruction Naval Saint-Mandrier
Chapitre 1 : Présentation du site
Chapitre 2 : Type de spécialités du Centre d'Instruction Naval saint-mandrier
Déroulement du stage
Chapitre 1 : Déroulement d'une journée type
Chapitre 2 : Formation Initial
Chapitre 3 : Plateau technique
Présentation de la semaine embarquer
Chapitre 1 : présentation du bâtiment
Étude de cas
Remerciement
Histoire du Centre d'Instruction Naval Saint-Mandrier
En 1936 l’hôpital militaire Saint-Louis de Saint-Mandrier ayant déménagé dans les locaux du nouvel hôpital Sainte-Anne de Toulon, l’École des Mécaniciens-Chauffeurs et Scaphandriers s’installe dans ces murs.
Puis en 1940 arrivée à Saint-Mandrier des apprentis évacués de Lorient.
1943-1945 L’école était fermée; seule une permanence administrative était assurée.
L’école ouvra de nouveau ses portes en avril 1945, sous l’appellation d’École des Apprentis Mécaniciens de la Flotte.
L’école assurera également la formation des armuriers, torpilleurs et scaphandriers depuis 1947.
Depuis1963 l’école devient le «Groupe des Écoles de Mécaniciens» (GEM) et assurera la formation de tout le personnel mécanicien du service général, des bâtiments de surface et des sous-marins.
1971 Inauguration du Centre d’Instruction naval de Saint-Mandrier.
Le GEM prendra le nom de «Groupe des Écoles Énergie de la Marine» (GEEM). On y installera l’École des Officiers Énergie (EOE) et le Cours Spécial des Officiers Énergie (CSOE) en 1989.
L’école des Électrotechniciens rejoint le «Groupe des Écoles Énergie de la Marine» en 1991.
Depuis 1993 le CIN et le GEM se sont regroupé sous l’appellation : Centre d’Instruction naval de Saint-Mandrier.
La formation des Électromécaniciens de sécurité est transférée de Querqueville au CIN de Saint-Mandrier en 2002.
Présentation du Centre d'Instruction Naval
Saint-Mandrier
Chapitre 1 : Présentation du site
École au service des forces et de la Marine, le Centre d’Instruction Naval (CIN) de Saint-Mandrier forme les marins tout au long de leur carrière: formation initiale, formations élémentaires aux métiers, brevets d’aptitude technique, brevets supérieurs, cours supérieurs, cours de spécialité des officiers.
Le CIN s’étend sur 110 hectares et deux sites : l’un au nord, berceau des générations de mécaniciens depuis 1936, auxquels se sont ajoutés les électriciens en 1991 et les marins pompiers en 2002 ; l’autre au sud qui forme les marins dans les spécialités des armes et équipements (radar, guerre électronique, sonar, transmissions et informatique) et des opérations.
Chapitre 2 : Type de spécialités du Centre d'Instruction Naval saint-mandrier
Détecteur (DETEC): Affectés à bord des bâtiments de surface ou des sous-marins, les détecteurs sont au cœur de la conduite des opérations navales au-dessus de la surface. Pour cela, ils mettent en œuvre et assurent la maintenance des moyens de détection électromagnétique (radars), de guerre électronique (intercepteurs radar, radio, brouilleurs, leurres anti-missiles, …) de visualisation et de traitement de l’information tactique. Leur rôle est d’analyser l’environnement et d’évaluer la menace.
Détecteur anti sous-marin (DEASM): Affectés à bord des bâtiments de surface ou des sous-marins, les détecteurs anti sous-marins sont au cœur des opérations navales sous la mer. Ils mettent en œuvre et assurent la maintenance des installations de détection sous-marine, de lancement d’armes et de traitement de l’information. Ils peuvent devenir classificateurs analystes (« oreilles d’or ») ou spécialistes de la discrétion acoustique.
Réseaux et télécommunications (SITEL): Affectés à bord des bâtiments ou à terre, ils assurent le traitement et la transmission de l’information opérationnelle et administrative de l’unité. Ils sont chargés de l’établissement des liaisons radioélectriques ou filaires ainsi que du raccordement de systèmes d’information à tous types de réseaux majoritairement satellitaires. Spécialistes en informatique, ils administrent les réseaux et sont responsables de la maintenance des systèmes de télécommunications et du matériel informatique. Ils sont également garants de l’application de la politique de sécurité informatique.
Électronicien d’armes (ELARM): Affectés principalement à bord des bâtiments, les électroniciens d’armes organisent et assurent la maintenance des systèmes des conduites de tir missiles et canons embarqués. Ils sont qualifiés dans de nombreux domaines tels que l’électronique, l’électrotechnique, l’automatique ou encore l’informatique de commande. Lors des tirs, ils dirigent depuis le central opérations la mise en œuvre de l’artillerie et des missiles.
Mécanicien naval (MECAN): Affectés
...