L'analyse du marché publicitaire au maghreb
Rapport de stage : L'analyse du marché publicitaire au maghreb. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mounir KL • 22 Novembre 2018 • Rapport de stage • 2 295 Mots (10 Pages) • 525 Vues
SOMMAIRE
L’identité du festival 3
Programme 3
Les livres et leurs auteurs 4
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un 4
Joanne Richoux, Les collisions 5
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo 6
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux 7
Lucie Land, La débrouillardise 8
François Beaune, Omar et Greg 9
Les partenaires et contacts 10
L’IDENTITÉ DU FESTIVAL
Le projet est porté depuis six ans par une équipe dynamique d’étudiants sous la coordination d’enseignants de l’université de Paris 13. L’idée fédère le corps universitaire dans la promotion de la littérature contemporaine au sein de l’université. Le prix littéraire Texto-Université Sorbonne Paris cité qui en découle cette année, est un grand moment de célébration de littérature contemporaine sur l’ensemble des établissements de COMUE USPC.
Le comité d’organisation de ce prix comprend ... des UFR Lettres, Langues, Sciences humaines et des Sociétés et de l’UFR des Sciences de l’Information et de la Communication. Il se penchera sur les six romans en lice pour en distinguer un seul, pour sa valeur littéraire mais aussi pédagogique.
Y prennent aussi part les étudiants et autres associations de la COMUE USPC, à travers la mise en place logistique de l’événement dont ils assurent, jusqu’ici, la communication auprès des partenaires. LISTE PARTENAIRES
Pour la remise du prix, le comité d’organisation a porté son choix sur la personne de Maylis de Kerangal, première invitée des rencontres Texto en 2012 et auteure d’Un monde à portée de main (Verticales, 2018), un roman d’apprentissage, dans la lignée de ses œuvres précédentes.
PROGRAMME DE LA SOIRÉE
Le 3 Décembre à 21 h à la Maison de la Poésie
La première édition du prix Texto - est animée par les étudiants du média universitaire TreizièM’Onde ainsi que par Anne Coudreuse et Judith Mayer, toutes deux en charge des rendez-vous littéraires Texto qui ont lieu tous les mois à l’Université Paris 13 depuis 2012. Maylis de Kerangal en sera l’invitée d’honneur.
Première partie
Présentation des livres sélectionnés
› Entretiens avec les auteurs
Deuxième partie
›
Remise du prix
› Dialogue entre le lauréat et Maylis de Kerangal
Restauration autour d’un cocktail dinatoire
Maison de la Poésie
Passage Moliėre
157, rue Saint-Martin - 75003 Paris
M ° Rambuteau - RER Les Halles
LES LIVRES ET LES AUTEURS
AMINATA AIDARA
Je suis quelqu’un (Collection Continents Noirs, Gallimard, août 2018)
Une enquête généalogique. La sombre histoire d’une famille, racontée par plusieurs de ses membres, qui sèment des indices sur leur passé.
Ce roman présente des cas de figures à travers le personnage de Penda et ses filles, spécialement Estelle, qui font partie d’une génération partagée entre deux pays et qui doivent surmonter cette réalité pour se constituer leur identité. Comment fait-on pour s’adapter à un nouveau pays sans pour autant renier l’ancien ? Comment concilier une double-identité ?
Ce roman est une promenade en Ile-de-France et un voyage au Sénégal. Les souvenirs des personnages sont très mobiles entre les deux pays. On balance sans cesse entre ces deux lieux, comme le cœur des personnages.
Aminata Aidara est une journaliste et romancière. Née en 1984, d’origine italienne et sénégalaise, ses nouvelles, écrites en italien et en français, sont publiées depuis 2009. En 2014, elle publie La ragazza dal cuore di carta, un recueil de nouvelles qui sera lauréat... En 2011, elle lance le projet « Exister à bout de plume », qui permet la parution d’écrits de jeunes immigrants en France. Elle est aussi collaboratrice de la revue Africultures en tant que critique littéraire. Je suis quelqu’un est son premier roman.
« Au Sénégal, en France, où qu’ils vivent, les protagonistes de Je suis quelqu’un se cherchent des origines et se retrouvent. Beau premier roman d’Aminata Aidara. »
Le Monde
« Je suis quelqu’un sonne comme une affirmation de soi. Beaucoup de personnages du roman habitent la frontière que l’Histoire a emplie d’absurdes séparations. Sont à la marge et de fait interrogent la vie de manière originale et nécessaire. »
Africultures
« Des squats parisiens aux beaux quartiers dakarois, la primoromancière recompose les voix d’une famille éclatée entre la France et le Sénégal. »
LivresHebdo
JOANNE RICHOUX
Les collisions (Collection EXPRIM’, Éditions Sarbacane, avril 2018)
L’année de terminal s’annonce d’un ennui mortel pour Gabriel et Laetitia. Pour y remédier, ils s’attribuent le rôle du Vicomte de Valmont et de la Marquise de Merteuil, en hommage aux Liaisons dangereuses qu’ils vont étudier cette année. Ils entraîneront leurs camarades dans un jeu malsain, qui ne se déroulera pas comme prévu…
Dans un scénario contemporain, cette histoire inspirée dans le roman classique de Chordelos de Laclos traite de nombreux thèmes, que cela soit de l’anorexie, le désert effectif, l’automutilation, le suicide et son impact sur une famille, le divorce et la peur de l’avenir. Un paysage plus que complet d’une année de terminale, avec ses enjeux et ses peurs.
Joanne Richoux est née en 1990 en banlieue parisienne, et a grandi au fin fond d’un petit village auvergnat. Après un bac littéraire, elle entame des études de psychologie à Grenoble, qu’elle interrompt quatre ans plus tard pour se consacrer à l’écriture.
Les collisions est son deuxième roman dans la collection EXPRIM’, précédé par Marquise, publié en mars 2017, bien accueilli par la critique.
« Ce sont des personnages qui perturbent. Qui ne nous laissent pas indifférents. Des personnalités creusées, approfondies et qui remuent quelque chose en nous. »
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