En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?
Dissertation : En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar teluq • 19 Avril 2015 • 1 278 Mots (6 Pages) • 1 205 Vues
INITIATION À LA GESTION
ADM 1002
Travail noté 1
Question no 1:
En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?
La division du travail est clairement établie au sein de l’entreprise Sécuriplus. La compagnie est scindée en trois divisions: vie, industrielle, médicale. Comme décrit dans l’étude de cas, «Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau. Des préposés au courrier ne s’occupent que du premier tri des réclamations reçues ainsi que de l’expédition des enveloppes. D’autres employés ne s’occupent que de la livraison, le classement des réclamations et d’un second tri des réclamations. Le traitement est effectué par un groupe de commis qui n’ont pas d’autres tâches que celle-ci. Enfin, d’autres commis sont responsables d’émettre les chèques et de faire le classement de ces derniers et des réclamations.
On constate également qu’il y a une organisation scientifique du travail dans l’entreprise. Jean Blanchette énonce clairement que les employés ne doivent qu’exécuter ce que la direction leur demande d’accomplir. Ceci démontre bien la division verticale du travail entre les deux groupes. De plus, une étude a été réalisée pour connaître le temps de traitement des réclamations. Nous savons par exemple qu’une réclamation simple est traitée en 3 minutes et qu’une réclamation complexe l’est en 7 minutes. Les déplacements, le classement et les inspections ont aussi été chronométrés.
Des outils de contrôle sont en place afin de mesurer la qualité du traitement des réclamations. Le département de marketing a en effet développé un système afin de se comparer au reste de l’industrie. Le directeur, monsieur Blanchette, exerce un contrôle régulier en rappelant souvent à ses employés d’augmenter la cadence et de diminuer les erreurs.
Question no 2:
En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol?
Henri Fayol a proposé 14 principes généraux d’administration. Chez Assurances Sécuriplus, certains de ces principes sont appliqués, alors que d’autres ne le sont pas.
La division du travail: Comme décrit dans la question précédente, le travail est très segmenté dans l’entreprise. Chaque employé ne participe qu’à une petite fraction de l’ensemble du travail requis pour compléter le traitement d’une réclamation.
L’autorité et la responsabilité: L’étude de cas démontre que le directeur du service possède une autorité certaine liée à son poste. Les commentaires acerbes de monsieur Blanchette laissent toutefois supposer qu’il n’inspire pas d’autorité personnelle en raison de ses rapports avec les employés.
La discipline: L’étude de cas ne révèle pas de cas où des employés ne se plient pas aux règles de l’entreprise.
L’unité de commandement: L’étude de cas se limite aux employés d’un seul service. Ces employés relèvent tous d’un seul chef: Jean Blanchette.
L’unité de direction: L’unité étudiée dans ce cas relève bien d’un seul programme, c’est-à-dire le traitement des demandes de réclamation dans un délai optimal.
La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général: Bien que le directeur Jean Blanchette semble s’inquiéter de ce que la direction de l’entreprise pense de lui, les actions prises par les employés et leur directeur ne sont pas motivées par des intérêts personnels.
La rémunération: Il n’est pas fait mention de la rémunération dans l’étude de cas. Il n’est donc pas possible de déterminer si elle est équitable et satisfaisante pour toutes les parties.
Le degré de centralisation: Nous pourrions décrire la notion de centralisation comme étant le degré de participation des subordonnés dans l’entreprise.
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