Besoins de Semler
Commentaire d'oeuvre : Besoins de Semler. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alexmar • 9 Avril 2015 • Commentaire d'oeuvre • 598 Mots (3 Pages) • 677 Vues
la structure pyramidale de base ne répond plus aux besoins de Semler et de la nouvelle vision de son entreprise. L’ouvrier ou plutôt l’employé n’est plus qu’un agent économique qui répond aux stimulis et aux choix de la direction mais devient ni plus ni moins qu’un membre à part entière de l’industrie. Conséquemment, la hiérarchie n’a plus non plus sa place dans la conception de son approche, les dirigeants, consutltants et ouvriers apportent chacun leur idées et opinions et ont tout autant leur place au sein de la gestion de l’entreprise. À mon sens le contrôle permanent et l’ordre se voient eux aussi remis en question.
Fayol prétend que chaque chose et chaque personne doivent être à leur place, donc respecter à la fois l’ordre matériel et l’ordre social. Par contre Selmer écarte ces principes en laissant le libre choix entre autre à ses employés, de leur espace physique, de leur salaire, de leur horaire de travail et même de leurs supérieurs. Le seul point central fixe et constant est le site Intranet d’où toutes les informations aussi transparentes soient-elles sont disponibes et accessibles de chaque poste de travail existant.
Les postulats du mouvement des relations humaines prennent une bonne place dans le schéma de gestion de Semler, entre autre, il estime que la centralisation de l’autorité freine la communication et que la satisfaction des besoins sociaux contrecarre les effets néfastes de la gestion technocratique tout en préconisant que l’être humain est un animal social et qu’il préfère la sécurité par l’intégration dans un groupe.
Ceci dit, principalement, lorsqu’un employé est heureux au travail, son niveau de productivité n’en sera qu’accru, de plus, l’être humain qui se sent valorisé et considéré socialement prendra de plus en plus confiance en lui , il sera donc de plus en plus satisfait et par le fait même plus productif, équation gagnante au sein du modèle participatif. D’ailleurs, si l’on se fie au propos nous comprenons toute l’ampleur de ces croyances.
La nouvelle structure permet à l’employé de gérer lui-même son travail et contrôler sa tâche, il participe entièremement à l’établissement de ses objectifs et lui et ses paires partcipent aux processus de décisions et d’évolution de l’entreprise. Ses besoins sont principalement comblés en ce sens qu’il se sent membre à part entière de l’entreprise dû, d’une part à son rôle de partenaire influent sur les décisions à prendre et d’autre part, selon de son mode de paiement qui est bien souvent, selon son choix établi, un pourcentage des profits de l’entreprise.
Aussi, dans un même ordre d’idée , des groupes de gestion sont créés et tous et chacuns sont libres d’en faire parti ou non, la proximité et le sentiment d’appartenance renflouent l’estime, et la force intérieure de chacun est multipliée lorque l’être humain est en groupe. Selon les chercheurs et chefs de file du mouvement des relations humaines, il est clair que l’amélioration des relations humaines a permis d’accroître la productivité.Il va s’en dire que Semler et son mode de gestion nouveau préconise l’esprit d’équipe et le plein pouvoir décisionnel de ces dites équipes.
Au début du Capitalisme industriel, les dirigeants d’entreprises en étaient également les propriétaires,
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