Management TES

1. La théorie économique que l’on peut mobiliser pour expliquer les choix d’intégration verticale et d’externalisation est l’école de la contingence. Elle prend en compte les acteurs environnementaux qui rendraient contingents les structures de l'organisation. Sa finalité est de trouver l’organisation la mieux adaptée à un contexte donnée. Les changements stratégiques sont radicaux : il s’agit d’infléchir la trajectoire stratégique d’après Chandeler. D’après Lawrence et Lorsch les entreprises sont confrontés à des sous*-environnements spécifiques au caractéristique de complexité et de stabilité variable : il faut adapter chacun des situations en fonction de chaque dilemme.

2. Les critères qui sont utilisés pour déterminer si une entreprise doit s’intégré verticalement ou internaliser certaine activité : les contraintes extérieur dès que leur environnement devient instable (grève par exemple), dangereux et perturbant. L'externalisation peut être synonyme de forts couts de transaction, elle peut encourir un risque de non contrôle des normes de production. L'entreprise peut donc préférer d'internaliser les activités à risques. L’externalisation lorsque leur activités peuvent entrainer des risques mettant en danger le personne humaine, le patrimoine et le l'image de l'entreprise. Les entreprises peuvent soit recourir à la création de filiales ou tout simplement procréer à la sous-traitance.

3. Le groupe LVMH à complété son intégration industrielle dans le secteur horloger par l’acquisition de 100 % des actions de ARteCad, l’un de ses principaux fournisseurs de cadrans de montre. Le groupe à racheté son fournisseur, c’est un choix stratégique du dirigeant en internalisant le groupe qui devient aujourd’hui leur propre producteur de cadran. De plus le groupe rachète un partenaire la Fabrique du Temps, un atelier Genevois.

4. La théorie néo-institutionnelle est une théorie récente, sa finalité est de recherché la légitime c'est-à-dire que les individus ou les organisations qui créent des normes technique et cognitives, des modèles et perceptions de comportement cohérents avec leur identité et leur intérêts puis les établissements comme des standards légitimes. Selon DiMaggio, néo-institutionnelle s’est développé autour de la figure de l’entrepreneur institutionnel.

Elle s’explique par un mimétisme stratégique du fait que l’on trouve souvent une stratégie de différentiation par lequel une valeur perçue des produits de l’entreprise qui est déférente de celle des concurrents.

5. La théorie néo-institutionnelle s’explique par la simultanéité des choix stratégique de LVMH, PPR, Hermes.

Ce sont tous des groupes de luxe multimarque avec une diversification de produit différente. Elle s’explique donc par un mimétisme stratégique par le prix (produit de haut de gamme) ; leur positionnement, la différentiation par sophistication (produits dont la valeur perçue supérieure à la valeur des produit).

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