L'introduction De Quotas De Femmes Dans Les Instances Dirigeantes Des Entreprises

De nos jours, l’introduction de quotas de femmes dans les instances dirigeantes des entreprises est un sujet discuté et aura différentes conséquences, pas forcément négatives.

D’un côté on a l’opposition à ce règlement.

L’introduction de quotas de femmes dans la direction des entreprises entraîna une restriction de la liberté du patron de l’entreprise en ce qui concerne le choix de ses collaborateurs. Au cas où l’application du règlement serait due, l’entreprise devrait être constituée d’un conseil de décision mixte, le patron est donc obligé d’employer au moins à moitié des femmes.

Un autre aspect est le traitement interne à l’entreprise. Dans notre siècle il y a encore quelques entreprises qui sont constitués que d’hommes. En ce cas l’introduction de quotas pourrait avoir un impact sur le mouvement interne à l’entreprise et influencer ainsi la liberté d’expression de ces employés.

De l’autre part, on a des politiciens qui intercèdent en faveur de ce règlement comme Viviane Reding de Luxembourg.

La première chose qui doit être dit est qu’avec l’introduction de quotas de femmes dans les instances dirigeantes des entreprises, les femmes soient finalement mieux représentées aux fonctions dirigeantes des entreprises.

En addition, il est une réalité que les femmes représentent aujourd’hui 60 % des diplômés de l’enseignement supérieur, et au surplus des études de McKinsey présentent que le bénéfice d’exploitation des entreprises avec un conseil de décision mixte est 56 % supérieur à celui des entreprises où dominent les hommes.

Ajoutez à cela que plus il y aura de femmes à des fonctions dirigeantes, plus il y aura de modèles à suivre pour les autres femmes et cet ensemble va en sus augmenter le taux d’emploi des femmes, un objectif de Viviane Reding, d’atteindre un taux d’emploi de 75%.

À mon avis l’introduction de quotas de femmes dans la direction des entreprises est un sujet des plus importants. On ne doit que jeter un coup d’œil aux chiffres des études de McKinsey, un bénéfice élevé de 56%, ce qui est compréhensible si les femmes représentent aujourd’hui 60 % des diplômés de l’enseignement supérieur, cela ne s’oublie pas si facilement. Dans le futur on doit s’approcher à l’application de ce règlement et profiter des conséquences au lieu de chercher le négatif dans l’ensemble.

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