BTS Communication économie générale et droit
Étude de cas : BTS Communication économie générale et droit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bruno greselin • 22 Février 2022 • Étude de cas • 700 Mots (3 Pages) • 425 Vues
Bruno
Greselin
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Économie et Droit (029617)
Première partie : Économie
Au 21e siècle, la croissance des nations en plein développement va complètement changer. On pourra observer un rééquilibrage d’une grande taille notamment entre le Nord et le Sud.
Nous commencerons donc par étudier les facteurs de la croissance africaine. Ensuite, nous analyserons les raisons pour lesquelles les investisseurs étrangers choisissent de s’implanter en Afrique, et l’incidence attendue et effective des investissements directs à l’étranger sur la croissance africaine. Enfin, nous terminerons par montrer que malgré sa croissance économique, l’Afrique conserve un retard dans le développement humain. Vous évoquerez en particulier les notions d’IDH et d’indicateurs de développement.
I)les facteurs de la croissance africaine
Il faut savoir qu’une croissance économique est fondée sur l’accroissement des quantités des facteurs de production et plus précisément sur le facteur travail et le facteur capital. Il y a plusieurs facteurs de la croissance africaine. Il y a la hausse de l’investissement et de l’épargne, l’accélération des exportations, la demande des consommateurs issus d’une classe moyenne nouvelle, et l’amélioration du cadre juridique et réglementaire.
L’objectif du continent africain est le facteur capital, car il cherche à développer la productivité ainsi qu’à intégrer les forces productives locales dans les chaînes de valeurs mondiales. Les enjeux sont forts pour le continent africain car la croissance est une condition indispensable au développement. La croissance se doit d’ être inclusive et permettre une réduction globale et durable de la pauvreté.
La participation aux réseaux internationaux de production et de distribution demande d’énormes efforts structurels comme l'investissement en capital humain par l’amélioration de la qualification, l'instauration d’un cadre réglementaire et d’un environnement économique transparent, les investissements matériels et immatériels ambitieux et pertinents, l'amélioration des infrastructures dans les systèmes de transport, routier, ferroviaire, et portuaire, les systèmes d’alimentation en énergie, et les technologies d’information et de communication.
Pour ce qui est de l’industrie du mobile qui suscite tant de convoitise, elle est un élément puissant pour la croissance africaine. En effet, c’est une source importante de rentrées fiscales pour les pays d’Afrique. Elle crée de nombreux emplois. C’est principalement un boost pour l’économie.
On peut ajouter à cela que pour l’Afrique, la ressource principale est la population. La croissance démographique africaine est la plus rapide du monde. L'augmentation de la population constitue un facteur travail. D’où l’intérêt de développer des infrastructures et des services d’éducation et de santé répondant aux besoins des citoyens, et d’assurer leur accès aux ressources essentielles comme l’eau et l’électricité. Ainsi les travailleurs mieux éduqués peuvent aussi commander les revenus élevés et l’opportunité de trouver des emplois mieux rémunérés.
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