Microéconomie, l'investissement

CHAPITRE 3

1. l'investissement

2) les déterminants de l'investissement

• taux d'intérêt

• emprunt ou autofinancement?
• Calcul économique: rentabilité I supérieur taux d'intérêt

• la rentabilité de l'entreprise et la question du partage  de la valeur ajoutée dans l'économie

progressivement le partage de la valeur ajoutée c'est fait de plus en plus au profit du capital (entreprises) le gouvernement attendit de cette politique que les entreprises une fois leur rentabilité retrouvée utilisent ses profits pour investir. Aujourd’hui les entreprises sont surtout attentives a leur ROE (return on equity) =c'est le rapport entre le résultat net sur les capitaux propres  il mesure la rentabilité de l'argent apporté par les actionnaires

les entreprises

et d'attribuer une note qui indique au potentiel

• la demande anticipée et le principe de l’accélérateur (Clark, 1917)

Si les entreprises augmentent les ventes elles devront augmenté leur capacité de production pour cela elles devront investir cette relation elle est résumée par le principe de l’accélérateur (Clark)

Toute variation de le demande entraîne une augmentation plus que proportionnelle de l'investissement de façon plus pragmatique on suppose souvent que  le demande anticipée est mesurée par la croissance anticipé de la demande réelle. Toute variation du PIB réel

cf graphique  

Ce principe repose sur des hypothèses  restrictives notamment le plein emploi du capital productif pour mesurer le taux d'utilisation du capital on utilise le taux d'utilisation des équipement (TUE) On considère qu'un pays utilise pleinement ses équipement lorsque le TUE dépasse 85%. Si le TUE est en dessous, par ex à 75% pour faire face à une augmentation de la demande les entreprises ne vont pas investir elles vont simplement utiliser leur machine de manière plus intensive et donc dans ce cas le principe de l'accélérateur ne fonctionne pas. Dans les hypothèses restrictives il y a l'idée qu'il existe un TUE à 100%. Inversement si l'entreprise doit faire face à une baisse de la demande, elle va réagir non pas en détruisant son capital mais en utilisant moins intensément ses équipements. Il y a donc apparition d'un capital oisif (pas utilisé). En cas de baisse des ventes l'appareil productif ne s'adapte pas immédiatement en particulier si cette baisse n'a pas été anticipé il se forme alors des stocks, investissement en stock (qui peut être négative dans le k d'un déstockage) représente la variation de la valeur des stocks totaux

le stock est donc la variable d'ajustement entre vente prévu et vente effective, on parle d'investissement involontaire

III : le modèle

 macroéconomique le plus simple : l’équilibre revenu dépense

1. le principe du multiplicateur

Keynes a mit avant le rôle central de la demande agrégée sur l'activité économique, il renverse la pensée économique de l'époque basé sur la loi de Jean Baptise Say (grand industriel français qui s'est mêlé à l'économie, il a fait le lien en les libéraux et les néoclassiques). La loi de Say ou « la loi des débouchées » pose que les produits sont achetés par les produits c-à-d que la production de b&s donne lieu à la rémunération des facteurs de production (travail et capital) rémunération qui constitue le financement pour la demande

...