Les Droit

Dans ces trois extraits, reflètent deux registres : le polémique et le satirique.

Tout d’abord, Voltaire dans son essai aborde la notion d’inégalité des femmes vis-à-vis des hommes et de la dépendance des femmes à l’égard de leurs maris, en mettant en évidence les réalités de la vie sans les améliorer, avec la grossesse comparé à « une maladie de neuf mois qui quelque fois est mortelle » mais aussi en utilisant un langage fort. Quand à Olympe de Gouges, elle défend la cause des femmes pour la liberté et l’égalité des droits ; elle défend des valeurs démocratiques par des débats politiques. Enfin pour Simone De Beauvoir, a pour objectif aussi de défendre la cause des femmes dans la société.

Ainsi, ces extraits ont comme prise de position commune, la place de la femme dans la société, les auteurs développent et argumentent chacune de leurs idées.

Question 2 :

Nous allons nous intéresser à la façon dont Voltaire et Olympe de Gouges réfutent la thèse qu’ils condamnent.

Voltaire, conteste dans son essai, l’infériorité des femmes. Tout d’abord, il proteste contre le fait que les femmes doivent dépendre de leurs maris. Il montre que la femme est aussi nécessaire à l’homme que l’homme est nécessaire à la femme par les expressions « nécessaire », « union », « les uns aux autres », lignes 12-13 qui renforce l’idée que l’égalité entre les hommes et les femmes devraient être naturelle. De plus, l’expression « avoir la tête mieux organisé » suggère que les hommes sont plus intelligents que les femmes, donc plus capable de gouverner mais l’argument que Voltaire cite dans son texte par rapport à la princesse allemande qui exerce un pouvoir détruit l’argument disant que les hommes sont plus aptes à gouverner que la femme. Enfin, l’auteur utilise un registre satirique pour les hommes, il est ridiculise par l’expression « coup de poing mieux appliqué » qui suggère que la seule qualité qu’ils aient et celle-ci. Il compare aussi les hommes à des bêtes qui n’ont une supériorité que dans leur force physique, cette idée est souligné par l’expression « un menton couvert d’un vilain poil rude » et « les hommes ont les muscles plus forts », ligne 18 et 21.

Quand à Olympe de Gouges,

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