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Le financement des start-ups est-il efficient ? 

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Par   •  10 Janvier 2023  •  Dissertation  •  1 292 Mots (6 Pages)  •  410 Vues

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Louis PIMONT-NISHIMURA 

Bachelor 3ème année / Classe 5 Finance 

Sujet de rattrapage de la présentation de groupe 

Dissertation de Financement d’entreprise

Sujet : Le financement des start-ups est-il efficient ? 

Etymologiquement, le mot “start-up” est d’origine anglo-américaine, ellipse de “start-up company” qui signifie société qui démarre. En Français, l'appellation start-up désigne une entreprise innovante et technologique nouvellement créée. 

Dans notre monde technologiquement accéléré depuis l’arrivée en 1958 d’Internet, l’innovation et la technologie répondent à une demande qui ne cesse d’augmenter.

Avec un fort potentiel de croissance économique et de spéculation financière sur sa valeur future, les start-ups sont généralement à la recherche de fonds d’investissement comme des levées de fonds, des emprunts, des aides financières et d’autres types de financement préalablement défini par l’entreprise. 

Le fonds d’investissement d’une jeune pousse est donc une étape importante dans son évolution. 

Nous tenterons de répondre à la problématique suivante : Le financement des start-ups est-il efficient ? 

Pour ce faire, nous prendrons l’exemple de trois types de financement, nous les expliquerons et verrons s’ils sont efficients.  

        Le financement de projet, permet après l’élaboration, d’accélérer le processus de vente d’une entreprise. 

Pour les start-ups, c’est une étape quasi-inévitable dans un contexte de croissance. 

Il existe de nos jours de multiples moyens de financement déjà existant pour lancer ou développer son projet. 

Comme énoncé précédemment, nous prendrons l’exemple du Financement participatif, de la levée de fonds et de l’emprunt bancaire. 

Nous avons choisi ces modes de financement car ce sont les plus populaires auprès des start-ups. 

Nous allons commencer notre rédaction par le mode de financement le plus connu de tous , le financement bancaire.

C’est un financement externe dans lequel un établissement financier va mettre à la disposition d’une entreprise une certaine somme d’argent, afin de l’aider dans sa création ou son développement.

Son principe est simple, l’institution financière, généralement une banque, prête un montant contre un taux d’intérêt. L’ensemble des prêts octroyés à des entreprises ne doit pas dépasser 50% de la trésorerie nette (ou 10% au niveau du groupe consolidé), et ce : dans la limite de 10 millions d’euros pour les Petite et Moyenne Entreprise; dans la limite de 50 millions d’euros pour les Entreprise de Taille Intermédiaire ; Dans la limite de 100 millions d’euros pour les grands groupes (par principe).Cette alternative permet à une start-up d’avoir beaucoup de liquidité rapidement, auprès d’une seule institution financière et ne pas engager de part de l’entreprise. 

De plus, au-delà du strict contexte du financement, les banques nouent aussi des relations de confiance de plus en plus étroites avec les start-up, dans un climat porteur pour l’innovation. Le bénéfice de cet engagement est double puisqu'il permet de dynamiser la croissance économique et l’innovation française.

La deuxième alternative de financement de start-up est la levée de fonds.

La levée de fonds est une opération qui consiste à faire entrer des investisseurs dans le capital social d’une société. Ces investisseurs apportent de l’argent à la société en contrepartie d’une prise de participation dans son capital social.

Le principal avantage d’une levée fonds réside dans l’apport de nouveaux fonds dans la société par les investisseurs. L’argent investi ne doit pas être remboursé, il s’agit d’un apport en capital.

De plus, une levée de fonds peut également permettre à une société de bénéficier de nouvelles compétences et de nouvelles opportunités d’affaires grâce au réseau des investisseurs.

Récemment, une nouvelle émission de télévision “Qui veut être mon associé ?” attire l’attention de tous les entrepreneurs. 

Dans cette émission, six investisseurs aux grands succès dont Marc Simoncini, entrepreneur de renom qui a notamment fondé Meetic et Angell, ou encore Éric Larchevêque fondateur de La Maison du Bitcoin, ont choisi de donner leur chance à de nouveaux talents en leurs proposant d’investir dans leurs projets en apportant leurs savoir-faire et leurs expériences. Cette participation se fait généralement sous la forme d’une levée de fond, mais elle peut aussi prendre d'autres formes déterminées par la négociation télévisée de lors de l’émission. 

Ces investisseurs sont qualifiés de Business Angel dont la définition est la suivante : 

“L'expression anglaise business angel désigne une personne physique qui investit à titre individuel au capital d'une entreprise innovante, à un stade précoce de création ou en début d’activité, période la plus risquée de l'investissement, et met à disposition ses compétences, son expérience, ses réseaux relationnels et une partie de son temps pour accompagner. Cet investissement personnel supplémentaire, caractéristique du business angel, le différencie notamment des nouveaux contributeurs en financement participatif par titres, micro-investisseurs en capital, qui n'ont d'autre vocation que le financement de l'entreprise.”

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