Le cout du logement
Fiche : Le cout du logement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar camsouchouu • 9 Décembre 2015 • Fiche • 1 910 Mots (8 Pages) • 638 Vues
Chapitre n° 13 : Le poids des dépenses en logement
- Les dépenses en logement
- Définitions
= Ens des sommes consacrées au logt par l’ens des agents éco.
- Dépenses liées à l’occupation (soit courantes) : loyers, charges locatives, dépenses d’énergie + petits travaux d’entretien courant.
- Dépenses en K (d’investissement) : Achat de terrain, de logements neufs, de tvx et gros entretien etc…
- Flux financiers : Dépenses liées aux logts vacants, certaines aides comme le fonds de solidarité logts, aides versées aux assocs qui logent temporairement des personnes.
Les Ct liés au logement : Sorties d’argent effectivement effectuées par les M pour se loger. C’est la perception par les M de ce que leur coûte le fait de se loger.
= Loyers réellement acquittés (pas imputés), les charges, dép d’énergie.
Intègre les remb d’emprunt immo et les taxes d’hab + foncières.
Dépenses en logement : Dép effectuées par les M pour se loger : loyer, ch, dép d’énergies + loyers imputés. Ne compte pas les remb d’emprunts immobiliers ni TH TF.
Loyer imputé : Service que se rendent eux même les pro occupants leur logt. = loyer qu’ils paieraient s’ils étaient locataires de leur logement.
= moyenne des loyers payés par les locataires d’un logt présentant les mêmes caractéristiques.
Ne pas comptabiliser les L.I : Rapprochement de la perception des M car il ne s’agit pas pour eux de dép effectivement payées.
2010 : Dépenses courantes liées à l’occupation du logt : 66.6 % des dépenses totales en logt. Dépenses en K : 28%
- Les dépenses courantes en logement
2010 : dép courantes en logt : 22 % du RDB des ménages – 26.3% de leur conso finale – 70.6% de leurs dépenses totales en logt.
Loyer x 4 en 25 ans. Part dans les dépenses courantes en 2010 : 74 %
Depuis 2008, la progression des dépenses en loyer a ralentie.
Dépenses eau et énergie : x 2, charges x 3 en 25 ans.
Variations des dépenses d’énergie : raisons climatiques (conditions météorologiques).
Ex : hiver 2010, hiver rigoureux = dépenses d’énergie liées au chauffage avaient prog de + de 2 points. -> ↗ dépenses courantes en logt.
Impact de la ↗ des prix à la consommation des produits pétroliers + autres énergies : atténué dans douceur du climat.
- Les dépenses d’investissement des ménages : Elles ont pour objectif de mesurer les seules dépenses destinées à ↗ le parc logt ou a prolongé sa durée de vie.
Calcul : Dépenses d’inv : achat de logt neufs + solde entre les acquisitions et les cessions de logements anciens + achats de terrains + grox tvx d’ent + frais liées à ces opérations.
= Somme totale qu’un ménage devra débourser pour acheter un logt ou améliorer un logt dont il est propriétaire. -> dépenses des ménages.
- Montant et évolution des dépenses d’investissement des ménages.
- Evolution et composantes des dépenses d’investissement des ménages.
2010 : 28% des dépenses totales en logt des ménages.
Dépenses en K : ↗ incessante depuis 1985 sauf sur période 90-94 et 2009-10 pour cause ↘ achat dans le neuf (effet à retardement de la crise financière et éco).
Inv dans l’ancien ↗ sur cette même période.
Répartition de ces dépenses :
Achat des B immobiliers neufs = environ la moitié des dépenses en K (2/3 en 1985) + Solde de l’ancien 10% en 2010 (5% 1985) + Dépenses de tvx sur B immo : 38.5% en 2010 (35.4 en 1985)
25 dernières années : part des dépenses d’inv consacrée à l’achat de logt neufs ↘ 9 points. Achat logt anciens : + 5.5%. Dépenses tvx d’amélioration : + 3.5%
- Dépenses d’investissement en logement des ménages et FBCF en logt
FBCF en logement = dépenses d’investissement auxquelles on enlève la valeur des terrains d’assise.
Depuis 1997 : dépenses d’inv + FBCF en logement ont connu 2 périodes de repli. (1990-93 / 2008-10)
- Part des dépenses en logement dans la FBCF nationale
En 2010 : dép en logt = 28.7% FBCF de l’économie. Le repli d’investissement enregistré entre 2009-10 tient principalement à la ↘ de l’inv dans le neuf.
De 1985 à 1990 : FBCF en logement ↗ mais sa part dans FBCF totale ↘ (idem 1997-2001) -> moindre dynamisme de l’inv en logement par rapport à l’inv national.
1990-93 : FBCF en logement ↘ - part dans FBCF nationale ↗ -> crise économique pendant laquelle l’investissement national était en panne.
- Le logement, un bien supérieur ?
- La notion de biens inférieurs et B supérieurs
Engel : Revenus faibles du ménage : part de l’alimentation importante. Quand les revenus ↗ , cela permet de satisfaire plus facilement leurs besoins alimentaires -> conso d’autres B.
-> ↘ part de l’alimentation dans leur budget : B inférieur.
B supérieurs : B dont la consommation ↗ quand les revenus du ménage ↗ : loisirs, santé …
- Le logement est-il un B supérieur ou inférieur ?
Poids du logement n’a cessé d’↗ alors que R des ménages ↗.
=> B supérieur
Mais, logt pèse d’autant + lourd dans le budget des ménages que leur niveau de vie est modeste.
Propriétaires + accédants avec niveau de vie + élevé, dépensent – pour leur logt que les locataires.
- Quand les revenus du ménage sont faibles la part du logt dans leur budget est importante.
- Le taux d’effort des ménages
- Le taux d’effort se calcule de la façon suivante : Ct du logement acquitté / revenu du ménage
Loyer ou remb emprunt + énergie + eau + ch + taxe / rev du ménage
- Différence entre « taux d’effort brut » et « taux d’effort net »
Taux d’effort net : prend en compte les aides au logt dont certains ménages pvt bénéficier et qui sont soumises à des C de ressources.
Taux d’effort brut : n’intègre pas les aides.
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