La géographie économique : définition
Fiche : La géographie économique : définition. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar james1234567 • 5 Janvier 2022 • Fiche • 1 602 Mots (7 Pages) • 531 Vues
Géographie Economique
Définition : La géographie économique est une branche de la géographie humaine qui étudie la distribution spatiale des activité des activités économiques.
Economie : C’est la science de l’administration rationnelle des ressources rares ( production, consommation, échange).
Géographie : C’est la science de l’espace, de la localisation et de l’organisation spatiales des société ( localisation, répartition, production).
Tout d’abord il y a l’idée en tant que tel un enjeu économique qui est quelque chose que l’on peut vendre comme par exemple ( l’immobilier, les transports ou le tourisme). – Un produit de l’économie : les infrastructures la spéculation foncière, le zonage des activités. L’économie est un formidable outil pour produire de l’espace. – Un déterminant de l’économie : choix des spécialisations, rentes de situation et couts des transports.[pic 1]
Ensuite, la géographie économique met l’accent sur la localisation des activités économiques comme par exemple sur la production, la consommation, et l’échange de biens et de service.
- Le développement local s’appuie sur le potentiel à mobiliser et à construire un territoire donnée, à savoir l’ensemble de rapports techniques, économiques ou sociaux plus ou moins riches en interaction donnant inégalement lieu à des processus d’apprentissage collectifs.
- Le marketing territorial s’appuie sur l’effort de valorisation et d’adaptation des territoires à des marchés concurrentiel pour en améliorer l’attractivité.
- La géoéconomie est une nouvelle branche fondée en 1997 qui est une branche des relations internationales au croisement des sciences économiques et de la géopolitique.
Ensuite nous allons voir les divers courant de la géographie économique :
- La géographie descriptive : C’est la comptabilité des richesses naturels (17ème – 20ème siècle)
- Géographie nomothétique : C’est la géographie qui va chercher à établir des lois et des règles à partir de modèles spatiaux et selon des logiques propres à l’économie) – années 1960.
- Géographie critique : courant néo-marxiste et tiers-mondiste, règles économiques de la domination (1970 – 80).
- Géographie postmoderne et approche culturelle de l’économie (après 1990).
- Géoéconomie : approche transversale de l’économie dans un rapport de puissances politiques.
Cours 3 : Espaces et Echelles économiques
Les 5 grands types d’organisations économiques régionales :
-Zone de libre-échange : suppression des barrières douanières entre les pays membres (ALENA)
-Union douanière : Zone de libre-échange +Tarif douanier commun vis-à-vis des pays tiers (CEI)
-Marché commun : Union douanière + Libre circulation des capitaux et des personnes (MERCOSUR)
-Union économique : Marché commun + politique économique commune (UE)
-Union économique et monétaire : union économique plus mise en place d’une monnaie unique (ZONE EURO)
En vertu des règles actuelles de l’Aléna, au moins 62,5 % des composants d’un véhicule doivent provenir d’Amérique du Nord pour profiter de tarifs douaniers préférentiels. Washington voudrait porter ce seuil à 85 %, avec une sous-clause de 50 % de composants venant spécifiquement des Etats-Unis.
L’ASEAN et son évolution :
• 1967 : zone de libre-échange entre 5 pays Indonésie, Malaisie, les Philippines, Singapour et Thaïlande) - lutte contre le communiste par le développement économique et social soutien USA.
• 1989 : Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (pays de l'ASEAN, EU, Japon, Canada et Nouvelle-Zélande).
• 1994 : Forum Régional ASEAN, questions de sécurité d'Asie du Sud-Est.
• Approfondissement 1995 : accord sur les services : divers rounds de libéralisation pour ouvrir le secteur tertiaire.
• Elargissement à 10 : Viêt Nam (1995), Laos et Birmanie (1997) Cambodge (1999).
Vers la démondialisation :
• Un concept encore flou : critique du capitalisme, régulation financière, retour à des bases macro régionales, protectionnisme vert, relocalisation
• Un spectre introduit dans le sillon de la crise des subprimes
• Une notion très secondaire
• Une évolution contredite par les chiffres
Le bouquet : des circuits courts aux circuits longs :
En France 88% des fleurs achetées sont offertes, la rose représente 50% des achats. 93% de la population française a acheter des fleurs ou des plantes pour 3,35Md d’euros. De plus les roses et les fleurs en général est devenue une production spécial à l’échelle mondiale notamment en Europe qui est le continent le plus productif sur le marché des fleur dans le monde. Cependant il y a un fort développement de la production de roses au Kenya. Malgré cette évolution dans le marché aux fleurs il y a énormément d’énergie dépensé dans cette agriculture notamment avec le transport de ces fleurs dans des avions cagots qui pollue énormément ou encore les moyens pour les produire notamment dans les serres ou sont produit les fleurs ou il y faut énormément d’énergie pour faire chauffer les serres et donc libère énormément de CO2 dans l’air. Il y a aussi d’énorme coûts sanitaires ou les employé sont souvent malades avec comme maladie des maladies de la peau ou encore une mal formations du fœtus.
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