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Environnement économique et managériale - BTS NOTARIAT

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Par   •  14 Novembre 2022  •  Étude de cas  •  3 013 Mots (13 Pages)  •  377 Vues

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DEVOIR N° 1

Partie 1 : Travail méthodologique

1/ Le marché immobilier englobe toutes les opérations immobilières, telles que les ventes et les achats ainsi que les locations. En s’appuyant sur l’annexe 1, on remarque que les prix ne cessent d’augmenter depuis 2018. Alors que les ventes de logement vacillent entre des périodes d’augmentation et de baisse. Entre janvier 2019 et février 2020, le graphique démontre que les ventes immobilières étaient en hausse partout en France métropolitaine. Tandis qu’à partir de mars 2020, soit juste après l’annonce du premier confinement lié à la crise sanitaire, les prix de l’immobilier ont commencé à chuté. Depuis mars 2020, les ventes immobilières ne cessent de dégringoler (et ce malgré une légère reprise des ventes en mai 2020). Pour autant, le marché immobilier ne se porte pas si mal car on décompte presqu’un million de transaction par an. L’annexe 1 montre que l’augmentation du prix du marché immobilier est différente selon la localisation. En effet, les français préfèrent les métropoles qui sont sources d’emploi et d’attractivité. En Île-de-France, les prix continuent de grimper, et le prix au mètre carré reste le plus cher de France. Tandis qu’en Province, les prix progressent de manière plus modérée. Dans les départements d’Outre-mer, l’augmentation du marché immobilier est en baisse puisqu’elle ne dépasse pas les 1%. Toutefois, on note que la capitale parisienne n’est pas celle dont les prix ont le plus évolué. En effet, suite aux confinements liés à la pandémie de Covid-19, l’annexe 1 met en exergue que les villes les plus proches d’un littoral sont celles dont les prix immobiliers ont le plus augmentés. Nîmes, Montpellier, ou encore Rennes ont vu leur prix être en hausse jusqu’à presque 7%. Les villes provinciales loin de la pollution parisienne attirent aussi puisqu’elles ont vu leur prix être augmenté entre 4 et 5%.

Tout cela démontre bien que malgré les incertitudes économiques liées à la pandémie de Covid-19, le marché immobilier être toujours en pleine croissance.

2/ L’explication de cette tendance revient au fait que la situation économique a été fortement impacté par la pandémie de Covid-19. Les français étaient face à une incertitude économique, et ont d’abord refusé d’acheter. Puis lorsque l’épidémie de Covid-19 se calmait, on remarque que les ménages français on voulu de plus de grand air. De par les confinements consécutifs, un certain nombre de ménages français a opéré un changement de mode de vie, avec le recours de plus en plus fréquent au télétravail. Cette tendance d’exode urbain des français se traduit par une volonté de vouloir plus d’espace intérieur mais aussi plus d’espace vert. Ainsi les français choisissent de quitter leur appartements dans la capitale pour un pavillon en campagne; ou bien pour les plus chanceux, ils achètent une résidence secondaire loin de la ville et de son fracas. De plus, les fortes progression de l’indice des prix au mètre-carré dans des villes comme Nantes ou Toulouse expliquent cette tendance d’exode urbain.

3/ Les critères objectifs permettent d’estimer le prix de vente d’un bien. Ils sont d’ordre généraux (car tous les agents immobiliers les utilisent). Parmi les critères objectifs qui influencent le prix du bien immobilier, on a l’emplacement, les matériaux utilisés, le prix du mètre carrés, et la superficie. Comme on peut le voir dans l’annexe 1, les français privilégient les métropoles donc cette tendance aura un impact direct sur l’augmentation du prix au mètre carré des logements proposé à la location ou à la vente. Les communes rurales ont eu un grand attrait à la suite des confinements liés au Covid-19, et donc le prix de l’immobilier augmentent aussi dans ces zones.

Néanmoins, ces critères ne permettent pas une estimation réelle du bien car ils sont trop insuffisants à eux seuls. Afin d’avoir une estimation réelle de la valeur du bien, on doit prendre en compte des critères subjectifs qui varient selon la localisation du bien. Ainsi, on peut noter qu’en métropole, des critères subjectifs comme la présence de transports en commun et d’arrêt à proximité du bien pourraient faire augmenter le prix. Si le quartier est recherché, la valeur du bien augmente. La présence de commerces de proximité (école, poste, boulangerie, épicerie) influencent la valeur du bien. Si le bien a des avantages de confort comme un balcon, une terrasse, un jardin, ou une piscine, la valeur du bien peut augmenté. Si c’est un appartement, un immeuble propre, récent, et qui a un ascenseur peut justifier un prix élevé. En somme, les critères subjectifs sont variables et nombreux. Ils différent selon la localisation du bien et de l’agence immobilière en charge de l’estimation d’un bien. C’est pour cela qu’il vaut mieux faire estimer son bien par plusieurs agences immobilières afin d’en tirer le meilleur prix.

4/ Le directeur de l’ERA invite le consommateur a acheté un bien immobilier en s’appuyant sur divers facteurs d’ordre économique, sociologique et juridique. Selon lui, économiquement, acquérir un bien en cette période est idéal puisque les prix sont en légère baisse, et les taux d’intérêts des organisme de crédit le sont aussi. Toutefois, même si le prix de l’immobilier est bas, le taux de crédit risque de réaugmenter prochainement. En effet, comme durant la crise de la pandémie de Covid-19, les français ont boudés les crédits, les taux d’intérêt ont chuté. Mais comme la pandémie de Covid-19 semble être maîtrisée, les taux d’intérêt de crédit risquent de repartir à la hausse. Sociologiquement, acheter un bien est une sécurité sur le long terme puisqu’on a un logement dans lequel on peut y vivre toute sa vie. Acheter donc d’avoir « un loyer qui pèse trop lourd dans votre budget quand vos revenus baisseront ». De plus, acheter permet aussi d’acquérir un logement qu’on peut façon à notre image, en ayant de plus grands espaces intérieurs comme extérieurs. Enfin juridiquement, acheter « une résidence principale offre un avantage fiscal : en cas de revente, la plus-value est nette d’impôt et de taxes. » En d’autres termes, le gain apporté lors de la vente d’une résidence principale n’est pas soumis à l’impôt ou à la taxation. Enfin, la suppression de la taxe d’habitation peut pousser les français à acheter plutôt qu’à louer car la suppression de la taxe sur la résidence principale fait baisser le poids des charges.

5/ La conjoncture économique du marché immobilier regroupe l’ensemble des paramètres

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