BREXIT
Étude de cas : BREXIT. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mathilde Hagnere • 23 Avril 2018 • Étude de cas • 482 Mots (2 Pages) • 595 Vues
Mise en situation « Brexit »[a]
1 : Le 23 Juin 2016, le Royaume-Uni a décidé de voter pour sortir de l’Union Européenne, ce vote a fait beaucoup de mal au niveau du « livre sterling [b]». On aperçoit une grande chute, de mois en mois, c’est chute est dû au vote du « Brexit » et cela va provoquer des conséquences graves au niveau de la confiance et de l’économique.
2/3 : Les conséquences de cette baisse sont l’augmentation des produits comme par exemple l’entreprise D’East End Foods, après la chute de 20% les prix de ses produits ont augmenté, mais il ne peut pas transférer cette hausse à ses clients avec qui il a des contrats annuels, c’est donc son bénéfice qui en souffre.
Toutes les entreprises britanniques importe qu’elle n’exporte plus, cela ne suffit pas à compenser. A court terme, l’effet de la chute des livres est donc majoritairement négatif : Le coût des biens importés a augmenté et des personnes vont payer, soit les entreprises vont réduire leurs marges, soit les prix au niveau consommateurs va être majorée. De plus, la Banque d’Angleterre prévoit une hausse de l’inflation de 0.6%, actuellement à plus de 2% Mi-2017.
D’après l’annexe 2, on peut voir qu’il y a des conséquences positives malgré la chute de la monnaie britannique, comme :
- Les exportateurs britanniques peinent depuis des années à gagner des parts de marchés et ce gain soudain de compétitivité ne peut que leurs être bénéfique[c].
- Le tourisme va en profiter également.
4 : La Banque d’Angleterre va intervenir dans cette crise, le mercredi 4 août, elle décide de réduire son taux d’intérêt à son plus bas niveau historique, de 0.5% à 0.25. Cette mesure est nécessaire en raison d’un coup de frein impressionnant que connaît l’économie britanniques. En tenant compte du plan de relance, la Banque d’Angleterre prévoit une croissance quasi inexistante au deuxième semestre, évitant de peu la récession. Pour 2017, le produit intérieur brut devrait être de 1%, 2 fois moins qu’en 2015. Les taux d’intérêts sont quasi à zéro. Pour finir, la nouveauté du plan de relance vient directement de l’aide des autres banques. L’objectif de ce plan est de financer directement les banques à un niveau proche du taux directeur pour s’assurer que la baisse des taux bénéficie ensuite aux clients.
Ce plan peut être une bonne chose mais plus tard la Banque D’Angleterre peut se faire « tourner le dos » par les autres banques si elles demandent le remboursement des sommes données pour aider les britanniques dans cette crise économique.
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