ANALYSE D’UNE SITUATION PROFESSIONNELLE
Étude de cas : ANALYSE D’UNE SITUATION PROFESSIONNELLE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Julien Frosini • 23 Octobre 2015 • Étude de cas • 1 263 Mots (6 Pages) • 1 867 Vues
ANALYSE D’UNE SITUATION PROFESSIONNELLE
Dans un bureau, il peut avoir un ou des risques :
1. Les bureaux doivent être bien conçus car si nous sommes mal assis nous risquons avoir des effets néfastes sur notre dos le plus souvent des cas.
Les Locaux encombrés, bruits…, installations électriques défectueuses… La conception des locaux et leur aménagement participent à la santé et la sécurité des salariés en facilitant, par exemple, l’accès et la circulation, les communications entre les salariés, la répartition de l’espace ou encore la gestion de l’éclairage, des ambiances thermiques ou sonores. L’expérience montre que les conceptions réussies de bureaux intègrent l’avis des personnels concernés le plus en amont possible.
2. Travail sur écran : L’ordinateur est maintenant présent dans tous les bureaux, sur tous les postes de travail. Le travail sur écran quand il est régulier, n’est pas anodin. Des mesures prenant en compte les risques liés à la sédentarité, aux postures physiques mais aussi à l’activité visuelle ou mentale qu’il implique peuvent être adoptées pour prévenir l’apparition de troubles.
3. Stress aux bureaux : surcharge de travail, difficultés à se concentrer, relations tendues, demandes contradictoires… Le travail de bureau peut être générateur de stress quand le salarié ne dispose pas des moyens suffisants pour répondre aux exigences liées à son activité. Il est nécessaire d’identifier les facteurs de stress(/accueil/risques/psychosociaux/stress/facteurs.html) au bureau afin de mieux les prévenir.
Durant mon stage, j’ai pu observer les employés à leur postes et j’ai pu voir que tous les employés porté des lunettes du a la présence d’écran. Mais le risque que j’ai choisi est le Bruit. Le mobilier est la cause du bruit dans les bureaux : Ce risque car c’est le cas le plus fréquent dans les cabinets.
Mon choix est fait grâce au site INRS :
Le mobilier et l’encombrement diffusant les sons (bureaux, chaises,
personnes ...) sont souvent présents dans les lieux de travail. Les
logiciels prévisionnels des niveaux sonores utilisent des
caractéristiques acoustiques telles que l'absorption ou la diffusion par
les parois ou le volume de l'ameublement. Dans ce travail, nous avons
développé un système de mesure pour déterminer le coefficient de
diffusion sonore in situ du mobilier. La technique de mesure est basée
sur celle de Vorlander et Mommertz à l’origine opérant dans des
conditions de champ libre. Afin de surmonter les problèmes d'échos
parasites provenant de la réverbération et des sources bruyantes
présentes sur le site, nous avons utilisé un système dédié
d'émission/réception : une antenne acoustique utilisant la pondération
multipolaire effectuant un filtrage spatial des échos parasites et une
source sonore impulsive autorisant l'utilisation d'une large fenêtre
temporelle qui sépare les différents signaux reçus par l'antenne. Les
mesures de coefficient de diffusion du son d'un bureau, une ou plusieurs
personnes assises, une armoire, de panneaux contenant une ou plusieurs
cavités, etc. ont été effectués pour plusieurs angles d'incidence. Ces
mesures permettent de constituer une première base de données du
coefficient de diffusion sonore par octave de différents volumes
habituellement présents en milieu de travail.
LES EFFETS PHYSIOPAHOLOGIQUES
Le bruit est un risque qui peut entrainer des effets sur la santé morale en particulier.
Le bruit est un ensemble de sons qui est perçu comme gênant. Il s’agit donc d’une notion subjective. Le même son peut être jugé utile, agréable ou gênant selon la personne qui l’entend et le moment où elle l’entend. Mais, lorsque le niveau sonore est très élevé, tous les sons sont perçus comme gênants et peuvent même être dangereux.
Petit à petit, le bruit rend sourd. Ce – dernier constitue une nuisance majeure dans le milieu professionnel. Il peut provoquer des surdités mais aussi stress et fatigue qui, à la longue, ont des conséquences sur la santé du salarié et la qualité de son travail. Pourtant, des moyens existent pour limiter l’exposition des travailleurs aux nuisances sonores.
En 1995par exemple, le nombre de maladies professionnelles pour surdité était de 777. Après avoir baissé autour de 500, il est de 632 en 2003. Les secteurs les plus générateurs d’atteintes auditives sont la métallurgie, le BTP, l’industrie du bois et textile.
Les nuisances sonores au travail font parties des risques qu’il faut évaluer dans le cadre de la prévention des risques professionnels. L'employeur doit évaluer et, si nécessaire, mesurer les niveaux de bruit auxquels les travailleurs sont exposés. Sur la base de ces informations, l’employeur détermine si les valeurs limites d’exposition et les valeurs d’exposition déclenchant des actions de prévention sont dépassées. Par comparaison, antérieurement à ce décret, la réglementation ne prévoyait un contrôle d'exposition au bruit que tous les 3 ans au moins. L’évaluation doit paraître dans le Document Unique ainsi que les actions de prévention mises en œuvre.
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