Événement d’actualité : la hausse du prix du pétrole / Automne 2021
Étude de cas : Événement d’actualité : la hausse du prix du pétrole / Automne 2021. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Patrick Dubé • 4 Mars 2022 • Étude de cas • 1 651 Mots (7 Pages) • 308 Vues
ADM 2021 | TRAVAIL NOTÉ #1 |
Marketing international |
[pic 1] | ADM 2021 |
Marketing international | |
TRAVAIL NOTÉ
#1 Événement d’actualité (20%)
■ Remplissez soigneusement cette feuille d’identité. ■ Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante. ■ Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM. ■ Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/ |
Feuille d’identité
Nom Dubé Prénom Patrick
Numéro d’étudiant 21397581 Trimestre Automne 2021
Adresse 5520, rue J-H Fortier
Trois-Rivières Code postal G8Y 4N4
Téléphone Domicile (819) 379-6184 Travail (819) 840-2915
Cellulaire (819) 697-9273
Courriel patrick.dube27@gmail.com
Nom du professeur ou son délégué Denis Robichaud
Réservé à l’usage du professeur ou son délégué
Date de réception Date de retour
Note
Date d’envoi [pic 2]
Événement d’actualité : la hausse du prix du pétrole
Depuis le début de la période industrielle, la production manufacturière et la consommation des ménages n’a cessé d’augmenter en Europe et en Amérique d’abord, ailleurs dans le monde par la suite. Le pétrole, avec le charbon, est la ressource énergétique la plus utilisée globalement et il est produit par un tout petit groupe de producteurs-exportateurs : les pays membres de l’OPEP. Cette ressource est devenue pratiquement indispensable au développement interne des pays ainsi qu’à la commercialisation à l’international. Par exemple, la Chine en devenant l’usine de fabrication mondiale et plus tard en devenant une société importante de consommation, est passée d’une consommation de 11 millions de tonnes d’hydrocarbures en 1965 à près de 560 millions de tonnes en 2015[1]. Malheureusement, cette tendance semble demeurer à la hausse avec une évidente reprise économique mondiale à l’horizon pour 2022, avec la fin anticipée de la pandémie ou du moins d’importants allègements aux mesures sanitaires si les conditions le permettent.
Du 31 octobre au 12 novembre 2021 se tenait en Écosse la COP26 de Glascow, soit la plus importante et attendue conférence mondiale sur les changements climatiques depuis sa création. Les attentes étaient immenses car on dit qu’elle est « le dernier et le meilleur espoir » de parvenir à limiter le réchauffement de la planète à +1,5 °C, objectif le plus ambitieux de l'Accord de Paris[2]. Pour atteindre ces cibles ambitieuses, les pays membres du G20 devront sans aucun doute diminuer drastiquement la production et surtout la consommation des ressources pétrolières et de ses sous-produits, ce qui va à l’encontre même de la tendance mondiale. Cependant, la conception et la mise en marché de véhicules électriques de plus en plus performants et autonomes semble avoir la cote auprès des consommateurs consciencieux de leur empreinte environnementale. Cela pourrait être une tendance lourde, du moins pour les pays les plus riches, et qui pourrait sonner le glas des belles années des puissantes pétrolières. Mais la question ne touche pas uniquement le transport de plaisance mais également le mode de consommation global et le transport des marchandises. Pour penser vouloir atteindre ces cibles, chacun doit faire sa part et repenser complètement son mode vie et ses habitudes, ce qui aurait pour effet cumulatif de ralentir ce fameux réchauffement de la planète. La pandémie aura tout de même eu, à très court terme, un effet bénéfique sur l’environnement. Elle aura su monter au monde qu’une pause d’activité humaine d’envergure peux rapidement redonner ses droits à la nature, comme un échantillon à l’échelle planétaire des bienfaits d’une consommation globale réduite. Les gens confinés et en télétravail, la fermeture des douanes et des aéroports, le fort ralentissement du transport naval. Tous ces facteurs limitant grandement la consommation de carburant ont mené à des surplus et à une forte baisse du prix du baril durant 2020 et une partie de 2021. Durant l’épidémie de la COVID-19, le prix est passé de 63,3 $ US/b le 6 janvier 2020 à 22 $ US/b le 20 mars 2020, soit une baisse totale de 65 % après 52 séances boursières. Jusqu’à présent, l’envergure de cette chute des prix a été la plus marquée, mais n’est pas sans précédent. Voici d’autres événements historiques qui ont eu des répercussions semblables sur les prix : Guerre du Golfe de 1990-1991, Crise financière mondiale et Grande Récession de 2008, Effondrement du marché du pétrole de 2014 [3].
...