Un changement de paradigme :le travail comme activité.
Analyse sectorielle : Un changement de paradigme :le travail comme activité.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Othmane Belkhadir • 18 Février 2018 • Analyse sectorielle • 1 135 Mots (5 Pages) • 635 Vues
Compte-rendu de lecture |
Un changement de paradigme :le travail comme activité. |
Othmane Belkhadir |
Destine à : Louis Fontaine 06/03/2017 |
Philippe bernoux dans son article ‘’ Un changement de paradigme :le travail comme activité.’’ Veut nous inculquer une nouvelle vision du concept du travail et cella en ajoutant une valeur autre que l’environnement de ce dernier comme le salaire, les conditions de travail ou encore les relations hiérarchique ect. Cette nouvelle approcher veut que le travail soit considéré comme une activité. D’après notre auteur Cette nouvelle vision apporte une importance primordiale compte aux sens du travail. Bernoux a analysé en première place les attributions historiques au travail et bien évidement comment le travail peut être définit comme activité, deuxièmement une représentation historique du mépris du travail manuel au fil du temps. En troisieme lieu sera consacré au taylorisme et sa conception du travail ouvrier. En quatrième lieu on verra les différentes visions qui sont consacrés au travail dans toute les dimensions sociales. Enfin, on verra les méthodes à adopter pour observer le travail en lui-même. Le travail représente une partie très importante dans le monde moderne dans des dimensions social et dernièrement apporte de nouvelles perspective en société.
Dans une vision historique du travail Bernoux a cite des concepte pessimiste et d’autre optimiste du travial , d’un point de vue religieux , les chretiens jugent que le travail represente le dur labeur, pour les grque le travail est l’asservitude de l’umain et que les gens dela haute societe ne pouvaint pas decendre a ce niveau social des travailleur cela est une vision pesimiste du travail. Une autre vision religieuse qui defend que le travail participe a la vie d’un bon chretien qui suit la voie de dieu cela represente une vision optimiste de ce dernier. Une vision marxiste du travail consiste a l’analyse du système capitaliste et l’exploitation des travailleur pour le compte d’un système benificiere. Le ‘’faire’’ dans le monde travail represente une facon global d’analyse ce concepte pour le faire introduire a des dimensions societale . le courant sociotechnique a permit un analyse qui juge que les executant ou les gestionnaire se doivent de suivre les regles emit par la direction mais aussi se demarquer par une autonomie qui va les respensabiliser et mettre leur intuition a rude epreuve. Le valeur qui a été donne au travial dans l’histoire nous permet de nous situer par rapport au travail et a sa conception comme activite.
La travail manuel au fil du temps a connu une stigmatisation et n’as pas été etudier et analyser comme il le faut. Les diference social on fait que le ‘’faire’’ cette ambleme du travail qui a exister avant la revolution indutriel. Cette derniere qui a fais du travailleur manuel un citoyen de second zone avnt la revolution et qui persiste jusqu’à nos jours. Les etudes consacre au travail manuel sont de plus en plus rare et cela depint d’une mentalites qui a ravager le monde moderne du travail. Les executant avance dans leur carriere ainsi que les ingenieur et profite d’un statut social qui va les aider a etablir une sorte de presence dans le monde des gestionnaires et des propriétaires .
Taylor (1912) a fais des travaux sur le travil ouvrier ce dernier vois les ouvrier en bas de l’echelle comme des machine a qui on a enlever le libra arbitre et qu’il doit travailler de manière machinal. Bien entendu taylor était conscient de cette faille au niveaux hiarchique mais a ce temps la personne ne fesais d’etude sur le travail des ouvrier et ce n’était pas une parti de l’histoire ou on pouvait se permettre de telle analyse. La reaction de walon (1932) etais inevitable puiqu’il dit :<< Priver l’homme de son initiative,l’amputer de son initiative pendant sa journée de travail, pendant ses huit ou dix heures de travail, aboutit à l’effort le plus dissociant, le plus fatiguant, le plus épuisant qui se puisse trouver>> (Wallon, 1932 : 209-210). Beaucoup de travaux apres Wallon ont vu le jour et ont permit une valorisation du travail ouvrier en lui consacrant un avantage et c’est celui du libre-arbitre qui permet au ouvrier un minimome de liberter pour exercer ses capacite qu’il a aqueri au fil du temps.
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