RIN1016 - travail noté

Question 1 (4 points)

Malgré la recommandation de M. Laframboise d’offrir un régime de participation aux bénéfices pour encourager la performance des employés et leur contribution au succès de l’entreprise, Mme Laferrière, qui souhaite toujours stimuler le rendement des employés, ne veut pas revivre les insatisfactions passées et ne souhaite pas augmenter non plus ses coûts de main-d’œuvre ni d’avantages sociaux à long terme. À votre avis, la proposition de M. Laframboise permettrait-elle de calmer les inquiétudes de la direction de Petits fruits Inc. ? Si oui, pourquoi ? Sinon, quelle serait votre recommandation ? Justifiez votre réponse au regard des faits du cas et de vos connaissances acquises dans le cours. Répondez en un maximum de trois pages.

« Il recommande aussi d’offrir un régime de participation aux bénéfices grâce auquel les employés toucheraient, à la fin de l’année fiscale, une prime calculée sur le pourcentage des profits réalisés par la compagnie dépassant les objectifs de l’année précédente. À son avis, ce régime permettrait de rétablir l’équilibre au sein de la production, de motiver les employés, peu importe leur statut et leurs besoins tout en collaborant à la croissance de Petits fruits inc. Les primes versées n’étant pas récurrentes, la motivation à contribuer au succès de l’entreprise en sera d’autant plus grande chez les employés, qui pourront se payer de petits luxes autrement inaccessibles »

M Laframboise suggère selon le texte de motiver les employés avec une prime versée avec les résultats des bénéfices au lieu d’utiliser la prime au mérite de production. Quelle importance cela sera-t-il de changé le système ?

Bien que la rémunération variable est utilisée pour motiver, fidéliser et retenir la main-d’œuvre, elle doit tenir compte des objectifs de l’entreprise et de ses besoins. Le travail de cueilleur demande une certaine coopération. Si les cueilleurs n’ont plus d’intérêt à travailler en équipe ils risquent d’entrer en compétition.

Le système au mérite de production a créé entre salariés une compétition à l’interne. Cette compétition a diminué la coopération entre les employés. Le manque de coopération a conduit à un échec dans la réalisation et l’atteinte des objectifs fixés par l’entreprise et qui nécessitent un travail d'équipe. Il y a eu émergence de comportement individualiste et contre-productif. Les résultats sont loin d’être convaincant pour le futur.

Une politique de rémunération individuelle a entrainé une modification des valeurs et de la culture. Elle entraîne de plus forte autonomie et responsabilisation individuelle. L'équilibre entre la dimension individuelle et la dimension collective est donc la meilleure vision d'une réussite de l’atteinte des objectifs de la rémunération.

L’entreprise a maintenant besoin de changer cette prime au rendement individuel a une participation aux bénéfices qui pourrait être une nouvelle avenue pour motiver le travail et les efforts en équipes. Chacun verra une responsabilité de rendement envers l’entreprise pour recevoir sa participation aux bénéfices. Risque-t-il de tourner vers une division des équipes ? Cela sera toujours possible, mais moins probable, car la participation aux bénéfices englobe tous les employés et responsables aux succès de l’entreprise.

M Laframboise propose une solution qui est n’est pas récurrente et qui demande la collaboration entre employés. L’effet escompté devrait être positif, la prime n’est pas récurrente il n’y a pas de risque quelle deviennent couteuse, elle n’augmente en valeurs avec la ligne des bénéfices. Elles sont versées une fois les bénéfices calculés. De plus, elles touchent les avantages monétaires en fonction des bénéfices et non des salaires. Elles n’augmentent en rien les avantages sociaux. Cette offre complète les deux conditions demandées pas Madame Laferrière.

Cet avantage monétaire pourrait-il augmenter l’insatisfaction du passé entre les employés et génère de mauvaises réactions des employés.

Non au contraire une fois bien expliqué aux employés cet avantage deviendra une raison de performance et de qualité.

Plus la compagnie progressera en bénéfices plus les employés recevront un crédit monétaire. Cet avantage aura l’effet de motiver les meilleurs et d’encourager les moins performants. Au lieu d’une compétition individualiste par une prime au rendement on encourage le travail en équipe par une participation aux bénéfices. « Tous les employés sont payés au salaire minimum, ce qui ne permet pas de distinguer, par exemple, les bons cueilleurs expérimentés des plus paresseux, qui ne sont plus incités à l’effort »

En conclusion, M. Laframboise propose un système avec un régime de participation qui répond aux attentes de la direction et de Madame Laferriere. Il ajoute une valeur à l’offre d’emploi chez l’entreprise Petits fruits Inc. La performance se fera en équipe et affichera des valeurs positives. Les employés seront motivés à donner une meilleure performance et l’entraide entre cueilleurs devrait aussi être valorisée. Toujours est-il important de s’assurer que les employés seront informés de ce nouveau type de primes. Alors pour toutes ces raisons, oui nous avons une solution de rechange en rémunération variable qui pourrait valoriser un travail d’équipes en quantités et en qualité.

Question 2 (3 points)

Les mois ont passé et une décision de Mme Laferrière se fait toujours attendre concernant l’implantation d’un régime de participation aux bénéfices pour les employés. En repensant à la situation et en revoyant les résultats du sondage interne, M. Laframboise croit de plus en plus qu’il aurait été moins compliqué d’offrir des paniers cadeaux de produits du terroir aux employés que de leur verser une prime individuelle de performance ou de s’entêter à implanter un régime de participation aux bénéfices. A-t-il raison ? Justifiez votre réponse en un maximum de deux pages.

M Laframboise semble indécis sur les besoins des employés. Je crois que l’offre d’une participation aux bénéfices encourage la progression de la compagnie et fidélise les employés, elle évite la compétition malsaine et la production en quantité sans qualité. La prime au rendement a créé une situation difficile dans la compagnie et risque de faire diminuer sa rentabilité. Ces deux types de rémunération font partie de la reconnaissance par la rémunération variable.

Si

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