Quelles bonnes pratiques de management peut nous apprendre la personne que vous avez choisie ?

rédiger dossier 3-4 pages (format papier) + synthèse orale lors du dernier cours (sans note)

Faire remonter les différences entre la théorie et la réalité. Comparer avec d’autres manager Ne pas faire un “compte rendu” de l’interview

Interroger un manager :

Quelles bonnes pratiques de management peut nous apprendre la personne que vous avez choisie ?

Introduction

Les vocables manager et management dérivent des mots français ménager et ménagement qui veulent dire ‘régler avec soin’ (Le Robert).

Sachant conduire le ménage, comme un « bon père de famille », le manager (ou gestionnaire) est celui qui sait utiliser les moyens mis à sa disposition pour diriger au mieux la « maison ». Ainsi, chacun de nous, quel que soit son rôle et son métier, est concerné par le management. Chacun de nous ferait donc du management sans le savoir. Il est cependant préférable de manager, de gérer, en sachant ce que l’on fait.

Le management est propre à chacun, chacun à plus ou moins sa méthode qui se retrouve dans des grandes catégories.

Contexte

Ici, le manager interroger est une manageuse de 50 ans qui à travailler dans un monde d’homme et qui a réussi à faire sa place en tant que manageuse respecter et respectable

Argumentaire

1. Point important retenu

Le point important qui est beaucoup ressortie est la confiance. La confiance est la base d’une relation seine et pérenne. En effet, la réciprocité est importante car le manager doit avoir confiance en son équipe comme les collègues doivent avoir confiance en leur manager.

Le fait d’avoir confiance en son équipe permet de les laisser travailler en autonomie et quand le manager laisse de l’autonomie les coéquipiers sont contents et vont vouloir montrer au manager qu’elle a eu raison d’avoir confiance en eux. Ce qui va rendre le collègue content et donc améliorer son travail. C’est ce qui peut s’apparenter à un cercle vertueux.

Il est également primordial de connaître son équipe, les points forts, les points faibles, la force de chacun.

Son responsable avait tendance à lui rappeler de ne pas être trop proche de ses collaborateurs, car avec le temps de l’affection émane de la relation et de ce fait on lui reprochait que les collaborateurs se confiait trop à elle sur des choses privées. Cependant pour elle, cela confirmait la relation de confiance.

1. Le rituel managérial

Le rituel managérial débutait dès le matin avec le lancement des applications, ensuite venait la prise en information des cas à traiter durant la journée. Ce qui était appelé stock de litige. En fonction des litiges et encore une fois grâce à la connaissance de l’équipe, elle savait qui permettre sur quel litige car chacun avait une facilité dans un domaine particulier, réclamation par téléphone, problème technique.

On comprend donc que la première partie de la journée du manager était la planification de la journée avec les équipes.

Le matin il avait aussi un petit briefe des résultats de la veille, les problèmes rencontré si un litige doit être passé à une tierce personne etc.

Lorsque le collaborateur arrivait à la limite, la manageuse venait épauler la personne en la conseillant ou en reprenant la main si celle-ci ne s’en sentait plus capable. Cela était appelé la méthode du changement d’interlocuteur.

1. Outils utilisés

Les tableaux de bord sont ici et comme d’autre entreprise un des outils les plus utilisée, en effet celui-ci permet à la fois d’être succins, complet et permet d’avoir les réponses rapides aux attentes.

Dans ce cas ici pour chaque litige un temps était alloué en fonction du litige afin de donnée des objectifs au collaborateur. Le tableau de bord permettait alors de calculer la productivité des collaborateurs. Et ainsi la mangeuse était capable d’estimer combien de litige était potentiellement réglé par un collègue. Pour ce faire 2 tableaux était nécessaire, un pour les chiffres individuels et un autre pour l’équipe. Celui de l’équipe était communiqué à tous, en l’occurrence le tableau individuel n’était communiqué que lors des entretiens individuels avec la personne concernée.

1. Se connaitre pour mieux se maitriser et s’améliorer

Le trop d’empathie peut parfois nuire à la relation professionnelle ou l’affecte devient plus fort que le professionnel. L’empathie c’est aussi la bienveillance.

L’empathie était un des points que ses responsables lui reprochaient. La manageuse trouvait que cette empathie était bénéfique pour l’équipe et que c’est justement ça qui amenait la confiance, mais cela ne plaisait pas à ses manager à elle. Pour eux était pas assez sévère pas assez dur, cependant il était 3 managers comme elle et c’était bien elle qui avait les meilleure résultat grâce à son équipe.

...