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Principes Du Management

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Par   •  21 Avril 2014  •  2 743 Mots (11 Pages)  •  871 Vues

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Principes du Management

I. LES PRINCIPES DU MANAGEMENT GENERAL

A. LA RECONNAISSANCE

Elle est devenue une composante essentielle de la vie au travail. Elle peut comprendre la reconnaissance de la personne, des résultats, de l’effort, des compétences.

La non reconnaissance = démotivation, frustration. Pourtant ça ne coûte rien  « Merci », « C’est bien, tu as fait du bon boulot » etc. Cependant cette reconnaissance ne doit pas seulement être utilisé pour des points positifs, elle doit aussi être utilisé pour des points négatifs savoir communiquer sur ce qui ne va pas sans pour autant frustrer le personnel, le dénigrer ou le rabaisser.

La reconnaissance renvoie à une certaine dimension de la justice.

1. Développement de soi

L’entreprise permet au travailleur de se développer personnellement au travail, et de mettre en application toutes les compétences qu’il aura pu acquérir au cours de sa formation.

La GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences. Cf départs à la retraite) a pour but en anticipant la demande du marché, de se demander de quelles compétences l’Ent aura besoin dans l’avenir pour rester compétitive.

Donc le développement de soi renvoit à cette notion de compétences  on s’investit à fond dans son W et on a envie d’y progresser.

2. Sentiment d’appartenance

Le fait que l’individu puisse se situer dans un groupe est essentiel. Le groupe du travail est un lieu où l’on peut échanger sur la façon dont on voit les choses.

L’incapacité d’un travailler à échanger sur le W, sur ce qui a été bien fait ou non = qqch de frustrant, souvent synonyme de souffrance car cela traduit l’isolement de ce travailleur vis-à-vis du reste de l’Ent. Donc sentiment d’appartenance = qqch de vital.

Ce sentiment d’appartenance se rapporte aussi à la notion de groupe  question de la délégation de la charge de W  savoir que l’on peut compter les uns sur les autres.

3. Gains financiers et matériels

La reconnaissance se mise prioritairement sur des gains (primes), du matériel (avantages). Cela permet de fidéliser les salariés.

Exemple : de la place de parking pour certains cadres = sentiment de réussite pro.

II. LE SENTIMENT DE JUSTICE AU TRAVAIL

Sentiment de justice d’un point de vue philo : bcp de modèles & de conceptions de la justice.

John ROWLS  ouvrage A70 qui synthétise le thème de la justice. Il décline ainsi 3 critères qui tournent autour des notions de juste et d’injuste :

• Equité : c’est ce qui fait qu’au W les + efficaces = ceux qui sont les mieux payés  question de mérite. Concrètement, est ce que l’équité est réalisable ? Est-ce que notre société 2012 est une société du mérite ?

NON  réussite suivant la catégorie sô. De même à l’école, pourtant lieu d’équité (Cf BOURDIEU : la reproduction sociale). Donc le principe d’équité ≠ efficient. C’est sur ce constat que Marx & Hegel dans « Le Manifeste du Parti communiste » proposaient de remédier à cela avec une sôt parfaitement équitable où l’on ferait abstraction de l’origine sô de parents en plaçant les enfants dans des foyers.

• Egalité : L’égalité des chances par l’égalité des droits, elle s’applique à tous quelque soit les mérites.

• Besoin : il peut servir à prendre des décisions en matière sociale.

 3 axes autour desquels vont s’articuler les notions de justice et d’injuste. Ces 3 axes régissent la plupart de nos décisions.

 Il est impossible d’identifier un seul bon type de justice mais il faut utiliser les 3. Selon les personnes, les critères vont varier.

 On ne peut pas limiter à la notion économique pour les individus, il y a la notion d’accomplissement.

 La justice peut être liée à la notion de reproduction sociale. Chacun n’ayant pas les mêmes cartes pour commencer dans la vie. (cf Bourdieu et le déterminisme social)

Cadres : la tentation du retrait ; étude de Juliette Ghiulamila, Globalisation des entreprises et nouveaux calculs dans la relation d’emploi.

 Les jeunes cadres s’identifient beaucoup moins à leur entreprise que leurs ainés. En 80/90, les idées de management s’étaient beaucoup basées sur cette idée de grande famille (séminaire etc.…). Les jeunes savent aujourd’hui qu’ils risquent d’être licenciés. Cette notion de famille n’existe plus vraiment.

Exemple : règle de promotion de l’ancienneté, c’est la même pour tous qui ne tient pas compte du mérite.

III. LE LEADERSHIP

Outils pour mettre en avant son leadership = Communication verbale (intonation de la voie) et Non verbale (geste, expressions faciales)

Manager : faire en sorte que des gens qui travaillent ensemble, essaient de se rassembler, et de travailler dans le même sens sur un temps plus ou moins loin.

Donc comment être un bon leader ?

• en jouant sur ma personnalité

• en les motivant

• en s’investissant (influence sur l’autorité…)

Le leadership c’est ce que chaque manager aimerait posséder.

Manager & Leader = notions différentes.

• Manager = un statut officiel

• Leader = renvoi aux caractéristiques de la personne

DONC : on peut être un leader sans être un manager et inversement.

(Voir doc « émotion » tableau)

Vision

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