Les assurances sécuriplus
Étude de cas : Les assurances sécuriplus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gcfilion • 7 Mars 2019 • Étude de cas • 2 882 Mots (12 Pages) • 734 Vues
Étude de cas « Les assurances Sécuriplus »
Question 1
En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail ? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondace de ces extraits avec les principes de division du travail et d’organisation scientifique du travail.
Pour une seule et même entreprise, on compte premièrement trois divisions spécialisées et énumérées dans l’étude de cas[1]. La première étant la division d’assurance-vie conventionnelle qui satisfait un besoin d’assurance aux particuliers. En suite, la division industrielle qui satisfait cette fois-ci un besoin différent soit ; des polices d’assurance-accident, d’asssurance invalidité à long terme et des compléments d’assurance-maladie. Finalement, Sécuriplus détient une divison spécialisée en plans d’assurance-médicaments et soins dentaires. Les trois divisions de l’entreprise visent à se spécialiser dans un secteur et de la sorte, augmenter leur productivité et leur efficacité en lien avec leur propre service.[2] D’après les informations citées au point 1.4.2 L’origine du principe de la division du travail : la quête de la productivité du volume Management à l’ère de la société du savoir[3], pour l’atteinte la productivité qui est au cœur et à l’origine de la division du travail, une entreprise mettera de l’avant des mécanismes comme la division des tâches et le contrôle et la hiérarichisation des fonctions.
Comme on peut le lire dans l’encadré 1.6 Les principes de l’organisation scientifique du travail, une séparation rigoureuse des tâches entre ceux qui concoivent (dans les bureaux de planification et d’organisation) et ceux qui excédutent (dans les ateliers) doit-être marquée. « Je fais mon travail de gestionnaire, il est à peu près temps qu’ils fassent leur travail de commis » dit M. Blanchette dans le cas. On peut alors comprendre que celui-ci souligne une démarcation entre le travail de gestionnaire et d’exécutant.
En terme de hiérarchisation des fonctions, nous constatons que le service de réclamations/médicaments, grâce à son organigramme, repopse sur l’organisation scientifique du travail selon Taylor. La Figure1 Organigramme de la division médicale du cas Les Assurances Sécuriplus démontre qu’à la tête de la division médicale, il y a un directeur, et que de celui-ci découle Jean Blanchette , acteur du présent cas, lui-même directeur du service des réclamations des médicaments ainsi que ses confrères, directeurs des autres services (administratifs, ventes, réclamations des soins dentaire) et finalement leurs subordonnés (équipe de vente, adjoints administratifs et commis de bureau, pour ne nommés que ceux-ci). Selon la pensée de Taylor illustré dans le volume Le management à l’ère de la société du savoir (page 37), « La division du travail entre la direction et les ouvriers est claire. La direction planifie, analyse et systématise les tâches. […] Les ouvirers de leur côté exécutent les tâches de manière à atteindre les revenus les plus élevés. »
Un autre facteur permet d’affirmer que Sécuriplus correspond au principe de l’organisation scientifique du travail et il s’agit du fait que le département des réclamations sur les médicaments démontre une divion du travail par le tri des réclamations et la séparation de celles-ci. D’abord, les réclamations leurs sont acheminés par courrier. Un premier tri est effectué depuis la division médicale et distribué selon les services à lequel la lettre est adressée (services administratifs, ventes, service des réclamations/médicaments et service des réclamations/soins dentaires). En ce concentrant sur le service des réclamations/médicament, un second tri est effectué selon des critères biens différents; on parle alors de réclamations simples, complexes et imcomplètes. À la page 37 du livre Management à l’ère de la société du savoir on peu lire que le travail mérite d’être soumis à une analyse et à une décomposition systématique, comme l’applique ici Sécuriplus.
D’ailleur on peut lire dans le cas Les Assurances Sécuriplus :
« Le service de réclamations/médicaments ne savait pas vraiment comment s’y prendre
pour réduire le temps de traitement à des délais acceptables. Afin de mieux comprendre le processus actuel de chaque type de réclamation (simple, complexe et refusée), le service avait effectué une étude de temps de traitement qui portait sur des dizaines de miliers de réclamations de chaque catégorie (page 5 ). »
À la section 1.4.3.1 Les principes de l’organisation scientique du travail du volume Management à l’ère de la société du savoir (page 36), on stipule que : « Selon taylor, le travail devrait être dépouillé de toutes les activités inutiles, de façon à procurer des revenus élevés aux ouvriers et aux dirigeants. À la suite d’une analyse scientifique[4] des tâches, les ouvirers tout comme les cadres perdent le contrôle effectif de leur travail. ». De par la démarche de Sécuriplus d’effectuer une étude de temps dans le but d’améliorer les performences, ont peu alors affirmé qu’il s’agit bien de pratique d’organisation scientifique du travail.
Question 2
En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus conrespond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henris Fayol? Illustrez votre réponse a l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.
L’entreprise ne correspond pas aux principes administratifs de Fayol et pour le démontrer, nous comparerons certains principes d’Henri Fayol et Sécuriplus. Comme on peut le lire dans la section 1.4.4.1 Les principes généraux d’organisation (page 40, Management à l’ère de la société du savoir), la vision de Fayol sur la division du travail ne concorde pas avec la réalité aux Assurances Sécuriplus. Le principe de division du travail ce décrit ainsi : « Il importe que les travailleurs soient spécialisés; de cette façon, ils deviennent sans cesse plus expérimentés et plus productifs. La division du travail permet de produire d’avantage, avec des efforts comparables.». Une expérience en terme d’année n’est pas nécessairement synonyme de productivité. Monsieur Blanchette de Sécuriplus en parlant d’un employé démontre bien la présente théorie :
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