Les assurances Sécuriplus

Question 1.

Dès une première lecture, on peut constater que les principes de la division du travail, que l’on doit à Adam Smith, sont présents chez «Les assurances Sécuriplus».

De prime abord, l’entreprise elle-même est divisée en trois paliers bien distincts; la division vie, la division industrielle et la division médicale. De plus, comme mentionnée, «chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau» (A. Atkinson, 1999). En ce qui concerne le cas présenté, plusieurs organigrammes sont fournis afin de voir la séparation du travail vertical de manière plus spécifique. Par exemple, on énonce que «la division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration» (A. Atkinson, 1999).

En ce qui concerne l’organisation scientifique de Taylor, on peut retrouver certains aspects de sa pensée dans l’étude de cas. Par exemple, on retrouve l’analyse et la décomposition des tâches en ce sens où, par l’étude de dizaines de milliers de réclamations, on a pu valider les rôles de chacun des employés comme étant bien réparties selon leur champ de compétences données. Dans un même ordre d’idée, Taylor accorde également de l’importance à la formation, au suivi et au contrôle permanent et c’est aussi le cas pour le gestionnaire du cas à l’étude. En effet, il mentionne à quelques reprises que ses employés ont pu bénéficier de formations adéquates lors du changement de plateforme de travail.

En bref, il est possible de constater que les principes de la division du travail sont respectés dans le cas de chez Sécuriplus et, également, que certains points de l’organisation de Taylor sont présents.

Question 2.

Henri Fayol décrit plusieurs principes administratifs bien distincts dans son postulat afin de comprendre les diverses structures adoptées par les grandes organisations. Bien entendu, il est possible de trouver quelques concepts qui correspondent à la manière de faire chez Sécuriplus.

Dans un premier temps, en effectuant la lecture de cas, il est facile de retrouver les différentes positions des employés ainsi que la présence de cadres ce qui prouve que le concept de hiérarchisation est bien présent dans cette entreprise. Par ce fait même, la division du travail par l’établissement de diverses tâches particulières liées à l’expertise de chacun des employés semble aussi être respectée. Donc, il est possible de conclure que le concept de l’ordre est respecté par l’endroit précis de chaque employé dans la sphère de l’entreprise selon ses compétences et les formations reçues. Qui plus est, les concepts d’unité (de direction et de commandement) sont aussi bien respectés par la hiérarchisation exposée. On peut également observer certaines formes de décentralisation par la division du travail entre plusieurs directions distinctes agissant dans le même but, mais ayant des pouvoirs distincts.

Par la suite, M. Blanchette utilise son pouvoir d’autorité lorsqu’il donne des ordres à ses employés par rapport à leur manque de rendement ou à divers cas problématiques comme celui énoncé vis-à-vis Marie-Line. On peut voir, grâce

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