Le management, matière centrale de nos études, nécessite d’être correctement défini.
Cours : Le management, matière centrale de nos études, nécessite d’être correctement défini.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nicolas Amador • 17 Septembre 2018 • Cours • 559 Mots (3 Pages) • 657 Vues
Le management, matière centrale de nos études, nécessite d’être correctement défini.
C’est donc un mot anglais qui, initialement vient du Français, et correspond au mot ménager. On peut l’illustrer avec la métaphore suivante : qui veut aller loin ; ménage sa monture. Le management est étroitement associé à la notion de gestion. Provenant du monde anglo-saxon. Cette discipline vise à opérer dans le sens d’un bon fonctionnement d’une organisation. En d’autre terme, il s’agit de prendre des choix judicieux en fonction de n’importe quelle situation, quelque qu’elle soit, et de la manière de les justifier. On peut donc bien sur parler de pragmatique de l’action.
Le management répond à différents objectifs. Tant pédagogique que philosophique, dans la curiosité, la façon de penser, et dans la profondeur de son apprentissage.
Et son enseignement suit une ligne directive, celle de la critique dans la prise de décision, et fait donc appel à une vive argumentation.
Pour nous initier à la matière, l’étude de cas étudiée portait sur le thème suivant.
: Jean-François Party, directeur adjoint opérations dans une entreprise fabriquant des produits plastiques, surprend un soir, alors qu’il était dans son bureau, un employé en train de voler des pièces produite dans l’entreprise : deux cordes en nylon. Après s’être assuré que c’était effectivement un vol, il lui annonce qu’il est licencié.
Est-ce une bonne décision ? mérite il d’être licencié ? et comment être sûr que notre choix serra le bon ?
Deux hypothèses s’offrent à nous. Tout d’abord OUI : son renvoi est justifié car l’employé avait connaissance du règlement et il est explicitement indiqué qu’un vol entraine un licenciement. Cependant son renvoi entrainera certainement une baisse de cohésion du groupe ainsi que des conséquences négatives sur l’employé.
D’un autre coté on peut aussi plaidoyer sur le fait que NON : il est préférable de ne pas le renvoyer. Cet acte pourrait renforcer la confiance au sein de l’entreprise Toutefois, ne pas le renvoyer donnerait un mauvais exemple aux autres membres de l’entreprise, qui pourrait ainsi avoir l’idée d’imiter ce geste. Ce qui amènera une perte d’autorité.
Les deux hypothèses ont toutes deux leur part de vérité. Comment choisir ? et tranché dans cette délicate situation ?
Afin de choisir le directeur adjoint est confronté à deux types de paramètres répondant aux domaines administratifs et humains. En effet, il doit trancher entre, soit imposer le règlement, soit favoriser la cohésion de groupe.
Le choix dépend donc de ce que l’entreprise veut propager en terme d’image et de valeur. Et la philosophie organisationnelle de l’entreprise ? La ligne éthique et directive qu’elle suit.
Finalement c’est l’aspect humain qui se révèle être le choix final, car l’indulgence qui serra propager dans l’entreprise prends le dessus sur une perte d’autorité. Elle renforcera la confiance, et elle, représente la matrice autour de laquelle se greffe le monde du commerce.
Néanmoins un délit ne peut rester impuni, car il faut aussi réaffirmer la règle, très importante dans le monde économique. C’est pour cela qu’une mise à pieds pour le voleur, représente un terrain d’entente parfait entre tous ces facteurs. La règle est réaffirmée et l’autorité n’en prendra pas un coup et une bonne cohésion de groupe, inspirée par l’indulgence et la confiance, régnera dans l’entreprise.
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