Le Droit Au Compte
Note de Recherches : Le Droit Au Compte. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar byzance4 • 24 Mars 2013 • 413 Mots (2 Pages) • 863 Vues
I) DROIT AU COMPTE ET RESPONSABILITÉ DU BANQUIER
Le droit de refus du banquier
La notion de « refus de vente » ne s’applique pas. Le refus doit être motivé par des considérations bancaires.
La personne a qui on oppose un refus doit s’adresser à la BDF qui va désigner une banque :
- établissement de crédit
- établissement de paiement
- la banque postale
On propose au client le service bancaire de base avec une liste de services figurant dans le décret du 27 mars 2006.
A l’ouverture d’un compte, on procède à des vérifications :
- identité
- capacité civile (majeur ou mineur émancipé) = on demande acte de naissance
- capacité à émettre des chèques (interrogation du FCC et du FICP)
- domicile
On a l’obligation de communiquer au client :
- les CG de la banque
- les conditions d’utilisation du compte
- les tarifs des principales opérations
Il y a plusieurs sortes de comptes :
- courants (pour les professionnels)
- comptes rémunérés
- comptes en euros ou en devises
- compte individuel (avec ou sans procuration)
- compte collectif avec solidarité active (compte joint « ou »)
- compte collectif sans solidarité active (indivision « et »)
- compte de dépôt à vue (pour les particuliers)
La procuration :
- le mandant donne procuration au mandataire pour faire fonctionner son compte
- Pas de limites au nombre de mandataires.
- Elle peut être accordée à toute personne, même mineure.
- Elle est générale ou spéciale (durée particulière).
La fin de la procuration :
- décès du mandant ou du mandataire
- échéance prévue
- révocation du mandat par le mandant
- clôture du compte
- renonciation du mandataire
Le chèque est un instrument de paiement par lequel une personne appelée TIREUR donne l’ordre à une TIRÉE de payer à vue le BÉNÉFICIAIRE une somme déterminée.
Avant paiement il faut vérifier les mentions obligatoires et :
- la régularité
- l’absence d’opposition
- la
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