L1 Introduction à la science de gestion
Cours : L1 Introduction à la science de gestion. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MarietteMg • 15 Octobre 2017 • Cours • 2 594 Mots (11 Pages) • 1 118 Vues
Introduction à la Science de Gestion
Cours sur CELENE, mot de code « BETA » Partie programme: livres de références
Objectifs du cours:-faire connaitre les principales caractéristiques de fonctionnement d’une organisation et plus particulièrement d’une entreprise//-informer sur les différents métiers de gestion//-entrainer les étudiants à suivre l’actualité des entreprises/ /Noyau: Stratégie/Organisation/Sciences informations ?/ /Chefs d’entreprises(préparer des questions)/ /Contrôle des connaissances: Quiz 40 questions par Oui ou Non (attention aux articles définis/indéfinis)
Quelques Conseils: connaitre plutôt que comprendre, attention aux fréquentations, aucun jour sans une ligne (travailler très régulièrement),faire preuve de courage et de persévérance, savoir prendre des notes, faire attention aux règles élémentaires de grammaire (surtout pour le QUIZZ)
Intro:
H. Johnson et P. Drucker (selon NHau: la formation des dirigeants d’entreprise)
Il est demandé des compétences techniques/générales: elles changent: méthodes innovations, environnement) d’ou la nécessité de les comprendre. De comprendre le problème et pour ça il faut connaitre son cours. D’apprendre à trouver des solutions: rôle de la conceptualisation. En enfin de savoir faire preuve d’une « transférabilité » de ses connaissances. C’est à dire d’avoir la capacité d’utiliser son stock de connaissances dans n’importe qu’elle conditions (on peut se servir de ses connaissances de droits et de comptabilité par exemple, et c’est même recommander.)
En 2050, 50% des métiers qui seront pratiqués, n’existent pas aujourd’hui, de 1945 à 2010, 50% des métiers ont disparu.
La société de l’information
Sommaire: Notre étude portera tout d’abord sur l’origine et le développement des besoins d’informations, puis sur la méthode et les outils utilisés, par la suite nous verrons quelques exemples et enfin nous déclinerons sur les perspectives d’avenir.
Origine et le développement des besoins d’informations
« les actions coordonnées de recherches, de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques » Henri Martre (1994)—> Il faut que je sache traiter, distribuer et exploiter l’information.
Il existe trois approche en matière de renseignement.
La première est l’approche par l’entreprise. Pour Sandino, l’IE a vu le jour en raison des interdépendances croissantes de zones économiques dispersées qui nécessitent une perception des évolutions dans ces zones mais aussi car c’est le tournant de la renaissance qui fait prendre conscience à certaines entreprises de la dimension internationale de leur activité des profits.
La deuxième est l’approche par la religion.
Les premières sources de recherche d’informations sont dans les textes sacrés. (Exemple récit Moïse). En effet, dans les évangiles le mot « veille » ou « veiller », par une recherche rapide d’occurrences, apparait dix fois dont cinq chez saint Martin, ainsi le besoin de s’informer était déjà présent.
La troisième et dernière est l’approche politico-militaire qui elle s’est développé tout au long de l’Antiquité. En Mésopotamie, au III°Millénaire avant J.-C. des moyens de renseignements ont été mis en place selon Pierre Villard: « ces agents (au service du roi sont chargés: de recueillir des informations, d’infiltrer le territoire adverse, etc.) //l’homme à su compter avant de savoir écrire.// En Egypte, à partir du II° Millénaire: la puissance royale à instaurer des systèmes d’informations. Selon Dominique Valbelle, il y aurai même exister un système d’interception.
Cependant le système d’Assyrie aurait fait preuve d’un système très abouti selon Véronique Grandpierre avec la création de « patrouilleurs », les « langues », d’une de la pratique de la dénonciation, de recours aux haruspices comme pratique majeure du renseignement extérieurs tant qu’intérieur, le recours systématique aux marchands. En effet, le système assyrien est le plus développé de la haute antique. En Asie, et plus particulièrement en Chine, Sun Tsé écrit dans les treize articles que le monde est incertain donc que les décideurs doivent traiter diffuser l’information. En Inde, l’Arthasastra, attribué au stratège hindou Chamakya dit Kautiya (entre le IV et le III siècle avant JC) crée le premier système d’information. En Europe Occidentale: il y’a un rejet de la recherche d’informations. En effet, les grecques ont utilisé la collecte d’information pour espionner leurs ennemis mais jamais celle-ci ne se faisaient jamais entre eux. Les romains: hypocrisie. Pas de système centrale de collecte d’information mais lié aux interventions militaires. le système avant Auguste: Speculatores, Exploratores (César et Vercingétorix). Le système après Auguste: Frumentarii(=agent de la police intérieur) Exploratores(=purement militaire)
On retrouve des caractéristiques communes à tous ces systèmes: la centralisation des informations autour du roi, la rapidité de la transmission de l’information ainsi que l’ancienneté ?
La place croissante de l’information économique
Les républiques marchandes italiennes
commerce avec l’Orient favorisé par les croisades
concurrence et développement donc des systèmes d’information économiques pour lutter contre leurs rivales
Venise: Collecte de masse d’information qui sature. Donc mise en place d’un services qui fait le traitement de ses informations: créé en 1539 Le Conseil des dix. Ils font aussi la protection des savoir-faire et ils o,t donc pilier le savoir-faire des autres régions.
qq exemples avant la révolution industrielle:
-en 1607, Henri IV débauche deux tapissiers flamands qui sont à l’origine de la manufacture des Gobelins
-Louis XV nomme en 1749 Daniel Charles Trudaine Directeur du commerce, responsable de tous les intendants de commerce. Dans le cadre du secret du Roi. Trudaine avait aussi pour mission d’organiser l’espionnage technologique.
-Louis XVI: le réseau du Le Turc essentiellement du renseignement
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