Devoir n°1 – Economie générale et droit

PREMIERE PARTIE – ECONOMIE GENERALE

                                        Le marché du cacao

        Le cacao est produit dans une poignée de pays pourtant tout les pays en général sont consommateurs, particulièrement en Europe donc la demande est très élevé par rapport à l’offre, c’est pour cela qu’on peut percevoir une élasticité de prix.

        Cette note argumentée et structurée serra composé de trois parties. Dans une première partie, il y’aura les caractéristiques du marché du cacao et les évolutions de prix en abordant l’élasticité. Dans une seconde partie, on y trouvera le marché de cacao du Cameroun et ses fonctionnements puis pour finir, dans une troisième et dernière partie, il y’aura l’externalité engendré par la production de cacao en Afrique de l’Ouest, ses défaillances et l’intérêt d’une intervention de l’état.

1. Les caractéristiques du marché de cacao et les évolutions de prix.

        Un marché est un lieu dans lequel l’offre et la demande se rencontre. Très peu de pays produisent le cacao car pour en produire, il faut avoir une localisation proche de l’équateur car pour sa production  il faut un climat humide, ombragé et chaud. Les 8 pays qui couvrent 90% de l’offre mondial sont : La Cote d’Ivoire, Le Ghana, le Cameroun, le Nigéria, le Brésil, l’équateur, la Malaisie et la République-Dominicaine.

La demande se définit par la quantité qu’un acquéreur accepte d’acheter pour un prix donné. La demande varie en fonction du prix, plus le prix augmente, plus la demande diminue.

L’offre est la quantité de biens et de services que les agents économiques sont disposé à vendre sur le marché. Plus le prix augmente, plus l’offre augmente.

Le prix du cacao a fortement progressé depuis le début des années 2000. Les pays Européens qui assurent la moitié de la consommation mondiale, la demande croit sur un rythme régulier de plus de 1.5%  en moyenne par an. La consommation est aussi forte aux Etats-Unis et au Japon, mais les récentes locomotives sont les pays émergents, en particuliers la Chine et l’Inde. L’offre de cacao n’augmente pas suffisamment, une pénurie de la matière est envisageable à l’horizon de 2020. Il est constaté qu’en 10 ans sa consommation à augmenté de 32%. C’est pour cela qu’une forte augmentation des prix a été envisagée. On appelle cela l’élasticité du prix, le prix varie en fonction de la demande. Plus la demande augmente, plus le prix augmente, cela peut être servis pour évité d’éventuelle pénuries.

1. Le marché du cacao au Cameroun et ses fonctionnements.

        Les producteurs de cacao au Cameroun reçoivent entre 15 et 8% du prix international moyen pour chaque kilogramme de cacao vendu au moment de la récolte, les écart du prix avec ses voisins Yoko-Douma et Mbanga peuvent aller jusqu’à 50%, on peut distinguer un fort dysfonctionnement du marché dans ce cas, car un manque de technologie d’accès à la communication et d’internet les producteurs camerounais n’ont pas accès aux informations requises pour négocier aux mieux les conditions de vente de leurs produits. Les acheteurs profitent de la situation car ils sont bien mieux informer à temps et en heure  sur les prix réel du marché.

Afin d’aider les agriculteurs qui n’ont pas de chance d’obtenir un prix équitable pour leurs produits. Internet leur créée ses chance là et c’est grâce a des stratagèmes tels qu’Infoshare qui donne accès aux dernières nouvelles du marché. Et pour les petits producteurs comme les villageois qui n’ont pas accès à internet, ils auront la possibilité d’accès à ces informations 2 fois par jours via des émissions radios diffusée.

1. L’externalité engendrée par les productions de cacao en Afrique de l’Ouest, ses défaillances et l’intérêt d’une intervention de l’Etat.

        On dit qu’il y’a externalité lorsque l’activité de consommation ou de production d’un agent à une influence sur le bien être d’un autre sans que cette interaction ne fasse l’objet d’une transaction économique. On distingue les externalités négatives et les externalités positives.

L’Union Européenne a décidé d’imposé à partir de 2014 un seuil maximal de cadmium dans les fèves de cacao. Les cacaos sont produits sur d’anciennes zones volcaniques riches en métal. Afin de contrôler cela, l’Union Européenne a imposé des normes sanitaires. Et pour garantir la qualité, il est privilégié d’adopter des labels, c’est pour cela que les productions, les industriels et les consommateurs ont tous intérêt à appliquer le principe de transparence.

La culture du cacao a entrainé ces dernières décennies un vaste mouvement de déforestation en Afrique de l’Ouest et l’augmentation de la demande risque d’aggraver ce problème. Cette déforestation participe aux réchauffements climatiques, beaucoup de pays ont décidé de lutter contre cette surexploitation du bien commun que constitue la forêt.

        Le marché du cacao est un marché complexe et en développement continue. Le prix évolue en hausse suite aux fortes demandes et cela entraine des dysfonctionnements concurrentiels notamment au Cameroun.

DEUXIEME PARTIE – DROIT                Dossier 1

1.         Monsieur Royle a embauché monsieur Bestro en CDD pour remplacé un salarié pendant une durée de 2 mois. Le contrat est préparé par son assistante le 25 mars, monsieur Royle oublie de faire signer le contrat par le futur salarié, arrivé au 15 avril monsieur Royle décide de faire signer le contrat par monsieur Bestro mais celui-ci refuse en prétendant avoir été embauché en CDI.

                Selon l’article L 1242-12 et L 124-13 du code de travail le contrat de travail doit être         établit par écrit et transmis au salarié au plus tard dans les deux jours qui suivent         l’embauche : sa transmission tardive pour signature est compté comme absence d’écrit qui         entraine requalification de la relation de travail en contrat à durée indéterminée. D’après         l’article L 1242-13 du code de travail le contrat est transmis aux salariés aux plus tard dans les         deux jours ouvrables qui suivent l’embauche.  

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