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AMD1015_TN1

Étude de cas : AMD1015_TN1. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2017  •  Étude de cas  •  2 059 Mots (9 Pages)  •  590 Vues

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Tout d’abord, commençons par définir trois concepts vues dans l’article de Turgeon pour faciliter notre compréhension de la gestion des affaires. Un « processus d’affaires» rassemble toutes les tâches et actions nécessaires à l’obtention d’un produit ou l’offre d’un service et équivaut aux points énumérés dans l’encadré sous celui de la stratégie de GRH. Pour en nommer que quelques uns, nous avons la planification, l’attraction et la rétention des employés, la santé, sécurité et bien être, l’organisation du travail et la gestion de la diversité[1].Tandis que les « pratiques d’affaires» elles, suivent des modes de gestions et se résument à ce qui se passe à l’interne. Ils existent plusieurs modes de gestions. Par exemple, certains favorisent le développement de compétences par la formation, d’autres misent sur des pratiques environnementales, comme Desjardins qui proposent aux entreprises des moyens d’adopter des pratiques durables[2] et qui a elle-même réduit ses impacts environnementaux, tandis que d’autres décident tout simplement de suivre les normes émisent par l’ISO[3], ce qui peut leur donner des avantages compétitif sur le marché, ou de se certifier HACCP[4]. Les pratiques d’affaires, bref, c’est la manière dont les choses sont faitent et gèrées. Si l’on comparait les pratiques d’affaires à la GRH, elles correspondraient à l’environnement interne comme illustré dans la figure disponible à l’annexe I. Cela touche plusieurs éléments dont la culture et les valeurs organisationnelles, la structure et l’organisation, la politique et les méthodes ainsi que les habilités et compétences et talents des employés, puis finalement les stratégies passées. Puis troisièmement, toutes intéractions et transactions avec les fournisseurs, les agents externes et les clients sont appelées des « activités d’affaires». Nous pouvons en quelque sorte dire que certaines activités d’affaires dépendent des tactiques d’affaires, mais je ne veux pas trop m’avancer sur ce sujet. Les  activités d’affaires sont lié à l’environnement externe et englobe plusieurs points parmi lesquels on retrouve la technologie, la compétition, le législatif et les politiques puis la démographie et la sociologie[5]. Des activitées d’affaires, c’est ce qui est nécessaire aux processus d’affaires. Le service à la clientèle en est un tout comme l’implication de l’agence canadienne des aliments l’est pour certaines entreprises. Dans le cas de l’ACIA[6], les lois fédérales doivent être respectées au sein même de l’entreprise et est fortement règlementées. Une entreprise bien de chez nous, Olymel[7] est une de ces entreprises qui reçoit la visite journalière d’inspecteur pour approuver les pratiques de celle-ci. Les produits, la transformation et par-dessus tout les exportations sont mituculeusement analysées ( documentation, annexe, poids, scellés de sécurité et respect des lois du pays où l’envoi des conteneurs a lieu). La démographie, comme le baby-boom l’a clairement démontré, influence aussi directement les entreprises. Monsieur Duclos, dans un article de parue dans le Soleil alerte la population des effets pervers de la démographie insuffisante pour prendre la relève de cette génération :  « Si l'économie québécoise des trois dernières décennies a bénéficié des effets positifs de cette vague de travailleurs du baby-boom nés dans l'après-guerre, elle en récolte aujourd'hui «les effets pervers», croit M. Duclos[8]». Donc, pour faire plus court, le processus d’affaire représente le « quoi», les pratiques d’affaires le « comment» et les activités d’affaires sont les actions grâce à quoi l’objectif est obtenu.

        Selon l’article de Turgeon , « une théorie des affaires doit servir de guide afin d’aider les décideurs à mieux naviguer sur les marchées au moyen des différents angles de vision complémentaires qu’elles procure.»[9] Il est composé par quatre angles de vue : l’angle macroscopique, l’angle microscopique, l’angle télescopique et l’angle entropique. Suivant l’angle microscopique, l’on doit se demander les questions subséquentes :  « qui est cette organisation? Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compétences distinctives, ses ressources? Comment réussir sur ce marché?»[10] Ces questions aident à peindre l’identité d’une entreprise. Entre l’angle microscopique de la théorie des affaires et l’adaptation de la stratégie de la GRH à l’environnement interne d’une organisation, plusieurs liens sont possibles. Il est important de garder en perspective le contexte d’affaire de l’entreprise lors des tâches et activités, comme lors du recrutement des employés et sa façon de les gérer. Son personnel doit satisfaire et correspondre aux valeurs de la compagnie, et de son côté, l’entreprise doit lui offrir la possibilité de pouvoir s’épanouir dans celle-ci. Avoir une ressource humaine de qualité offre conséquemment un avantage à l’organisation sur le plan de la compétition selon la perspective de la valeur ajoutée. L’égard de cette avantage amène des réussites à la manière d’une cascade : « Au-delà de l’effet immédiat sur la vision, la théorie des affaires agit, en cascade, sur l’ensemble des décisions d’ordre stratégique et tactique de l’organisation. »[11] En d’autres termes, les employés doivent être formés, encadrés et soutenus pour augmenter les chances de stabilité et de succès, puis l’angle microscopique de la théorie des affaires est un moyen efficace de mener à bon escient ses objectifs en servant de recette pour l’adaptation de la stratégie de GRH à l’environnement interne de l’entreprise.

Pour répondre à la question qui concerne les tactiques d’affaires et les atouts stratégiques pour un professionnel des RH, il est important, tout d’abord, de faire la distinction entre les tactiques d’affaires et les stratégies d’affaires. La stratégie comprend la planification et l'anticipation, alors que la tactique concerne plus le déroulement de l'action. Autrement dit, les tactiques peuvent être parralèment comparées à des batailles tandis que la stratégie peut être comparée à la guerre. La stratégie est vue à long terme et les tactiques permettent de maintenir l’entreprise à un certain niveau sur le marché. Si l’on introduit ces principes à la gestion des ressources humaines, la gestion des ressources humaines efficace, ici pouvant être illustré comme la guerre vise et invoque la réussite d’une entreprise et tout ce qui est sous-jacents à celleci se trouve à être les tactiques, les batailles en résumé. Suite à ces éclaircissements, il est nettement plus facile de faire le lien avec la perspective de la valeur ajoutée de la gestion des ressources humaines, qui ici revêt un rôle de stratégie et englobe le développement de tactiques d’affaires pour un professionnel des ressources humaines. La stratégie est difficilement réversible, tandis que les tactiques, elles, sont facilement ajustables. Le développement de tactiques permet au professionnel par exemple de disserner quelles personnes il doit engager et comment les intégrer correctement avec les méthodes nécessaires tout en gardant pour objectif que l’employé soit placé au bon endroit pour mettre à profit ses capacités. Il doit faire en sorte que l’employé adhère aux tactiques en les satisfaisants. « La GRH est alors le point de départ de la chaîne de valeur suivante : une GRH efficace satisfait les employés, qui, eux, rendent l’organisation capable de mieux satisfaire ses clients, ce qui favorise la santé financière à long terme de l’organisation »[12]. Pour conclure, je crois qu’un professionnel des ressources humaines peut gagner la guerre( atteindre son objectif et sa stratégie) seulement en utilisant des tactiques (ses batailles) et opine, comme la citation ci-dessus, et donne à long terme une stabilité et une bonne maintenance des ressources humaines. Puis, comme il est mentionné dans l’article de Turgeon, les tactiques ne fonctionneront peut-être pas toujours et parallèlement, c’est aussi appliquable aux tactiques misent en branle par le professionnel, cependant cela fait partie de la réalité du terrain d’ajuster les détails et même parfois de la soustraire de ses plans : « Les résultats de ces tests oscilleront sur une échelle variant de profits à pertes financières ou de l’acceptation au rejet du projet d’affaires convoité. Les éléments formant le bloc tactique sont subordonnés, eux aussi, aux effets des différentes variables externes à l’entreprise.

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