ADM 1015 TN1, les affaires
Dissertation : ADM 1015 TN1, les affaires. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Issy Naturelle • 30 Janvier 2018 • Dissertation • 1 792 Mots (8 Pages) • 869 Vues
Question 1
Tout d’abord définissons les trois concepts suivant : processus d’affaires, pratiques d’affaires et activités d’affaires. Selon Davenport (1993), Les processus d’affaires est un ensemble d’activités et de tâches structurés qui a pour but de produire un extrant spécifique, soit un produit ou un service.
Les pratiques d’affaires pour leur part sont décrient comme un mode de gestion (gestion de la qualité totale, la réingénérie des processus, la restructuration organisationnelle, etc.), les entreprises ont eu recours à plus d’une vague de pratiques d’affaires depuis les dernières décennies.
S’inscrivent dans les activités d’affaires les actions ou les gestes effectués au quotidien découlant des tactiques d’affaires retenues.. Les activités d’affaires sont les efforts visibles fournis par l’organisation sur son marché.
Nous pouvons voir, selon les définissons précédente, que ces trois concepts sont différents. Les différences que nous retrouvons dans ces trois concepts sont les suivantes, les pratiques d’affaires font références au mode de gestion de l’entreprise, tandis que les tactiques d’affaires réfèrent aux choix résiduels résiduels dependemment de la statégies et du modèle d’affaire retenus et les actvités d’affaires sont les choix efforts quotidien que fournissent l’entreprise. Malgré leur différence, les trois concepts se complètent.
Définisons maintenant ce qu’est la gestion des ressources humaines. Nous définissons la gestion des resources humaies (GRH) ,« gestion du personnel », « gestion des talents » ou encore « gestion des employés » nommé par certains, comme étant un regroupement d’ensemble de pratiques tels que la planification, la direction, l’organisation et enfin le contôle des employés au sein d’une entreprise.Il est important de miser sur la GRH pour trois raisons soient :
• La société, car une bonne GRH réduit les coûts sociaux que peut engendrer une main-d’œuvre mal gérée,
• L’organisation, car cela facilite la réalisation de la statégie d’affaires et bien d’autres avantages,
• Les employés, car cela permet au employé de travailler dans un milieu où il est possible d’optimiser leur contribution et leur potentiel.
Nous observons que les trois concepts nommés précedemment soient, processus d’affaires, pratiques d’affaires et activités d’affaires représentent un atout pour la GRH. Nous disons cela, car un professionnel RH qui prend conaissance de ces conceptes et les appliquent aux solutions élaboré pour l’entreprise maximise ,non seulement la rentabilité de l’entreprise, mais aussi le bien-être de la société et des employés.
En voici quelques exemples :
• processus d’affaires : En quelques décennies, le Groupe Airbus est devenu un acteur mondial incotournable das le secteur de l’avionnerie commerciale, faisant fi de concurrents comme Lockheed Martin, McDonnel Douglas et Fokker, pour n’en nommer quelques-uns. Cette entreprise a même réussi dernièrement à augmenter stratégiquement ses ventes sur la marché japonais, une chasse gardée de l’avionneur Boeing depuis un demi-siècle.
• pratiques d’affaires : La société cascades, au Québec, déploie six grandes valeurs au quotidien : le respect, le travail d’équipe, l’automnomie, la capacité d’adaptation, l’initiative et la communication.
• activités d’affaires : Que ce soit pour une petite ou moyenne entreprise (PME) ou un géant comme Walmart avec son million d’employés, toutes les interactions entre ces derniers, avec leurs fournisseurs ou avec des clients comptent dans le calcul du nombre d’activités. Ainsi, des centaines et parfois des milliers et même es millions de ces gestes ont faits quotidiennement. Ces activités peuvent donc être fort banales ou très recherchées et leur portée peut être très court, à moyen ou à long terme.
Question 2
La théorie des affaires, que nous propose Turgeon (2014), est un outil de guide pour les dirigeants, celle-ci devrait les aider à mieux cerner le marché dans lequel leur organisation se trouve. Plusieurs angles sont à prendre en considération lors de cet analyse. Les différents angles sont :
• L’angle macroscopique : dans quel univers d’affaires est placée l’organisation? Quels sont les enjeux, les acteurs, les facteurs d’affaires déterminants?
• L’angle microscopique : qui est cette organisation? Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compé- tences distinctives, ses ressources? Comment réussir sur ce marché ?
• L’angle télescopique : où l’organisation veut-elle se trouver dans un avenir choisi? Quel est le parcours requis pour l’atteinte de cet objectif?
• L’angle entropique : quel est le cycle de vie d’affaires possible à ce moment de l’existence de l’organisation? À quel chaos sera-t-elle soumise par les forces du temps? Quels en seront les instigateurs, l’ampleur, les impacts potentiels?
Nous allons, cepedant, nous concentré sur l’angle microscopique. Nous avons observé que l’angle microscopique, selon la définition citer ci-haut, fait référence principalement à ce qui se passe à l’interieur de l’organisation. Voyons à présent l’adaptation stratégique de GRH. Nous savons qu’une GRH contingente s’aligne sur le contexte et s’appuie sur des activités cohérentes. Nous disons cela, car le message actuel de perspective contigente de GRH est le suivant : « Il faut adopter une GRH s’alignant sur le contexte d’affaires ( la stratégie d’affaires, les valeurs de gestion, la taille et le secteur d’activité, etc.) et s’appuyant sur des activités de GRH cohérentes. »
Selon l’alignement de la statégie GRH les caractéristiques de l’environnement interne sont :
• Culture et valeurs organisationnelles
• Structure et organisation
• Politiques et méthodes
• Habiletés, compétences et talents des employés
• Stratégies passées
À cet égard, nous pouvons ainsi dire que le lien qui existe entre l’angle microscopique que nous présente Turgeon (2014) et l’alignement de la stratégie GRH réside dans les caractéristiques des environnements interne. Nous disons
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