L’opérateur Wana
Étude de cas : L’opérateur Wana. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kenza.blm • 21 Mai 2013 • Étude de cas • 497 Mots (2 Pages) • 804 Vues
Plan :
• Introduction
• Présentation de l’entreprise
o L’origine de l’appellation
o Chiffres clés
o Organigramme
o Valeurs
• Plan de communication
o Copy stratégie
o Communication média
o Communication hors média
• Conclusion
Introduction :
Après les résultats modestes de l’opérateur Wana, le directoire a pensé de tous changer et de donner lieu à un nouvel opérateur qui prendra le fauteuil de Wana afin de pouvoir conquérir des nouvelles parts de marché et de gagner la confiance des clients.
Certes, cela nécessite un plan de communication d’envergure… ce qu’on va essayer de dévoiler et de l’analyser tout au long de notre travail.
I- Présentation de l’entreprise :
1- L’origine de l’appellation
On s’intéresse toujours à savoir d’où vient l’origine des appellations comme par exemple Amendis qui vient d’Amen, eau en riffin et Dis pour distribution ou encore Veolia qui provient du nom du dieu grecque Éole dieu du vent.
Dans le cadre du lancement du nouveau wana, et quand l’affaire était entre les mains des créateurs, ils avaient devant eux les documents et informations nécessaires afin de pouvoir créer quelque chose qui colle avec l’esprit recherché.
Les documents spécifiaient une appellation temporaire de « (new) wana » et le designer en pensant à un logo, a enlevé le « E » afin de trouvé un bon design.
Ainsi quand il était entrain de relire cette nouvelle forme qui est (nw), par faute, il l’a relu INWI et alors l’idée lui est apparue. Il proposa alors ce nom comme nouveau nom et expliqua d’où est ce qu’il s’est inspiré.
2- Chiffres clés :
Son parc GSM est passé de 604.000 à 1,2 million d’abonnés. Dans son enquête - mars 2010 -, l’Agence nationale de la réglementation des télécommunications relève que sa croissance trimestrielle a enregistré «un bond de plus de 113%». De quoi donner des ailes au nouveau management d’Inwi qui compte cinq directeurs maghrébins et quatre autres européens. Le tout mené par un ex-dirigeant d’Orange, Frédéric Debord. Wana a dû casquer 60 millions de DH pour faire de la publicité pour sa nouvelle marque, miser sur la tarification à la seconde et opter pour une facturation transparente via un SMS envoyé après chaque appel. La politique du «one shot», selon la formule de Debord, donne ses fruits, d’où sa distance vis-à-vis du banking mobile: «Nous n’avons pas le temps, les ressources pour éduquer 27 millions d’utilisateurs des services GSM. C’est à l’opérateur leader de le faire», nous déclarait-il le 24 février dernier, soit un jour après le lancement officiel de l’offre GSM d’Inwi. Une offre qui s’est
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