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ADM1002

Étude de cas : ADM1002. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  15 Février 2019  •  Étude de cas  •  2 119 Mots (9 Pages)  •  561 Vues

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Question 1

À la lecture du présent cas, nous constatons dès le départ que l’entreprise Sécuriplus est divisée en trois secteurs clairement définis, ce qui correspond au principe de division du travail.

Tout d’abord la division vie : Celle-ci vend des polices d’assurance-vie conventionnelles et représente 50% des revenus de primes de l’entreprise. La grande majorité de ces polices sont vendues à des particuliers.

En deuxième, la division industrielle : Celle-ci est responsable de la vente des polices d’assurance-accident, d’assurance-invalidité à long terme et des compléments d’assurance-maladie. Cette division représente environ 20% des revenus de primes de la société.

Et finalement, la division médicale : vend des plans d’assurances-médicaments et soins dentaires. Ces polices sont vendues auprès des employeurs et représentent 30% des revenus de primes.

Chaque division à sa propre spécialisation. Chacune de ces divisions est gérée comme étant une entité indépendante des autres. Tel que mentionné à la page 2, chaque division à sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau.

En se concentrant plus particulièrement sur la division médicale, en regardant la figure1 de la page 2 nous pouvons constater que celle-ci se divise en 4 départements. Dans une optique de division du travail et plus particulièrement de spécialisation des tâches, la société Sécuriplus a choisi de séparer les réclamations des médicaments et les réclamations des soins dentaires en deux départements distincts.

Le service de réclamations des médicaments

Concernant plus précisément le service de réclamations des médicaments, dont Monsieur Blanchette est le directeur, tel que mentionné à la page 3 « les réclamations soumises au service des réclamations/médicaments, suivent un cheminement séquentiel spécifique qui débute au service du courrier de la division médicale.

Le fonctionnement des Assurances Sécuriplus s’appui sur plusieurs des principes de l’organisation scientifique du travail tel qu’imaginé par Taylor. Soit les principes d’analyse et décomposition des tâches, sélection de l’individu le plus apte à accomplir une tâche ainsi que le principe de contrôle et de formation.

La société fait face à trois types de problèmes qui entraînent des coûts plus élevés que ses concurrents.

-Des frais d’administration trop élevés

-Un taux de productivité trop faible aux services des réclamations parce qu’il y avait trop d’erreurs à corriger et trop de temps consacré à traiter des dossiers hors normes.

-Un trop grand nombre d’heures de travail consacrées à des tâches improductives

Selon le principe d’analyse et décomposition des tâches il incombe à la direction de réaliser la microanalyse des tâches et d’accroître l’efficacité du travail grâce à la planification. Dans ce cas précis, la société Sécuriplus « avait effectué une étude des temps de traitement qui portait sur des dizaines de milliers de réclamations de chaque catégorie» (Étude de cas Sécuriplus page 5).

Sélection de l’individu le plus apte à accomplir la tâche/ principe de formation : afin de s’assurer de la réalisation adéquate des tâches plus complexes, tel que le démontre l’extrait suivant, l’entreprise sélectionne les bonnes personnes pour occuper ces fonctions,

« Puisque pratiquement tous les contrats avaient leurs particularités propres, le processus d’approbation des réclamations nécessitait des employés compétents, attentifs et bien informés »(Étude de cas Sécuriplus, page 8).

En continuant dans cette optique l’entreprise contribue au développement de ses employés, tel que le démontre cet autre extrait.

« Nous avons investi des milliers de dollars en formation interne et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie et de traitement de données à l’extérieur »(étude de cas Sécuriplus, page 10).

Le principe de contrôle est très faiblement représenté. Sécuriplus effectue bien de façon sporadique quelques vérifications, « Dans le but de mesurer et de quantifier les causes et les types d’erreurs, Sécuriplus avait entrepris de vérifier un certain nombre de réclamations choisies au hasard »(Étude de cas Sécuriplus, page 8).

Toutefois, aucun système de contrôle continu n’est présentement instauré, « Exception faite de ces vérifications ponctuelles, il n’y avait pas de manière systématique d’évaluer les points… » (Étude de cas Sécuriplus, page 9).

Principe de division entre direction et exécution : Tel qu’illustré à la figure 1 représentant l’organigramme de la division médicale, chaque service à son directeur sous lequel sont exécutées les tâches administratives. De plus les services administratifs sont également regroupés sous une même direction où nous retrouvons, entre autres, les affaires juridiques et la comptabilité. Donc on remarque clairement une division entre l’exécution du travail et l’exécution de celui-ci.

Question 2

Certains des principes administratifs, tels que définis par Henri Fayol, correspondent ou non à des objectifs établis par la direction de la compagnie Assurance Sécuriplus.

Tel que démontré à la question précédente le principe de la division du travail est présent au sein de l’entreprise Sécuriplus. L’organisation du travail est très bien définie et comporte 3 divisions distinctes et autonomes.

Dans l’entreprise Sécuriplus, on constate la mise en place de nombreux postes de fonctions supérieures. Monsieur Blanchette, directeur du service des réclamations des médicaments, communique des ordres à son personnel et démontrant bien la présence du principe de l’autorité, n’hésite pas à envisager le congédiement si le travail n’est pas accompli. « la situation actuelle ne pouvait manifestement pas durer. Il fallait apporter des changements majeurs et M. Blanchette commençait à penser qu’il lui faudrait congédier quelques-uns de ses employés pour donner un avertissement sérieux aux autres » (Étude de cas Sécuriplus, page 1).

Tel qu’illustré à la figure 1, l’organigramme

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