Étude de cas Kodak
Étude de cas : Étude de cas Kodak. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar peltouse • 4 Décembre 2016 • Étude de cas • 1 015 Mots (5 Pages) • 1 901 Vues
« Clic clac merci Kodak »
6 milliards d’euros de dettes.
130 ans d’ancienneté ; « on va kodaker » ; 1 produit tous les 3 jours ; une des entreprises les plus rentables au monde ; en 3 ans ventes des numériques x10 ; Kodak n’a pas voulu croire à l’ère du numérique ; Georges Eastman -> créateur de la marque ; Georges expérimente en 1885 les premières pellicules : finies les plaques de verre ; 3 ans + tard : 1er appareil photo amateur au monde ; en 1900 : le brownie au prix de $1 ; plusieurs millions de brownies vendus dans le monde grâce à cet appareil accessible à tous ; il s’attaque à une nouvelle clintèe qui ne touche jamais à un appareil photo : la femme → marketing → il veut que les femmes (sensibles aux belles choses) peut immortaliser les vacances, les diners en famille etc …
Production de pellicules à la chaîne ; en France ; en UK ; dans les 60’s les vacances se démocratisent : Kodak lance un nouveau produit : l’instamatic → 85 millions d’appareils vendus mais ce qui fait la force de Kodak c’est la pellicule et ses marges. Tout est pensé en fonctoin de sa production ; L’homme marche sur la Lune : pellicule Kodak ;
la mont ée du numérique c’est Kodak qui l’a initié ; 23 secondes entre chaque photos ; ça n’a pas été très bien reçu, c’est un appareil sans pellicule ; la marque ne vyait pas quel modèle écnonomique adopter avec le numérique ; quels concurrents ? quels partenaires ? ; la direction de Kodak décide de retarder son arivée sur le marché numérique ; la marque se questionne sur son avenir, mais en France la marque cartonne ! ; avec l’appareil jetable, Kodak se fait doubler par Fuji, ce sont eux qui l’ont inventé ; 12 août 1987 : une usine disparaît → c’est le début de la crise en France ; Kodak doit licensier → « saisissez votre chance » quitter Kodak doit être une chance ; certains ont réalisé un autre métier, voire un rêve ;
Kodak double la prime de départ pour assurer un futur à ses anciens salariés ; à Rochester, après le passage de Kodak, la ville est devenue fantôme ; les concessionaires tournaient bien grâce aux primes de Kodak : tout le monde s’achetait une voiture ; Kodak a loupé le coche ; le PDG George Fischer, ancien de Motorola vient de l’extérieur de la boîte c’est une première ; la situation empire, les licenciments vont bon train ; comment prendre le virage du numérique alors que l’essence même de l’entrerpise est basée sur la pellicule ; création de l’APS avec Fuji → produit hybride, durera 8 ans, écrasée par le numérique.
Les gens n’achètent plus de pellicules → Kodak investit dans les imprimantes → mais les diaporamas sur ordi ont remplacé les hatidues familiales. EN 2004, ce n’est pas une démilition, mais une révolution → la faillite approche.
Antonio Perez : nouveau PDG → seule l’usine de Rochester produit encore des pellicules pour le ciné ; la cimie du sillicium remplace la chimie du carbonne ; entreprise paternaliste ; Fuji → culture japonnaise de l’ordinateur ; le marché de Kodak, qu’ils ont créé, n’existe plus.
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