La finale de Coupe Davis entre la France et la Suisse
Analyse sectorielle : La finale de Coupe Davis entre la France et la Suisse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fgdhf • 22 Septembre 2014 • Analyse sectorielle • 416 Mots (2 Pages) • 946 Vues
Le 22/09/2014 à 19:52:00 | Mis à jour le 22/09/2014 à 20:00:58
TENNIS
COUPE DAVIS Clément : «Un choix mineur»Le choix de la terre battue pour la finale contre la Suisse a été officialisé lundi. Arnaud Clément, le capitaine français, estime que «la rencontre ne se jouera pas sur la surface».
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Selon Arnaud Clément, «les Suisses sont bons partout» (L'Equipe)
La finale de Coupe Davis entre la France et la Suisse (21-23 novembre) se déroulera bien sur terre battue, comme l'annonçait notre journal ce lundi. De la terre battue indoor certes, au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d'Ascq, mais de la terre battue quand même. Un choix sur lequel est revenu lundi soir Arnaud Clément, le capitaine de l'équipe de France.
«Nous avons la chance de choisir, mais ce choix est mineur, a estimé Clément. La surface ne sera pas déterminante.» Des mots qui font écho à ceux de Jo-Wilfried Tsonga dans notre journal ce lundi : «Pour moi, toute cette histoire de surface n'a aucune importance. Ce qui comptera, c'est l'envie.» «Les Suisses sont bons partout, ajoute Clément. Ils n'ont pas beaucoup de faiblesses, c'est l'équipe la plus forte sur le papier, avec les numéros 3 (Roger Federer) et 4 (Stan Warinka) mondiaux. De notre côté, nous sommes aussi forts sur terre battue que sur dur.»
«Je ne sais pas si ce sera un plus pour nous, mais je ne voulais pas que ce soit un moins» Le choix de la terre battue est surtout expliqué par l'envie des Français d'embêter les deux stars suisses, qui joueront sur dur le Masters de fin de saison, une semaine avant cette finale de Coupe Davis. «Si nous avions choisi le dur, cela aurait été un avantage pour eux, avance Clément. Je ne sais pas si ce sera un plus pour nous, mais je ne voulais pas que ce soit un moins. Et si j'avais eu le sentiment qu'on était inférieur sur terre, on n'aurait pas pris cette surface.»
Une terre battue, qui plus est, qui ne ressemblera pas à celle de Roland-Garros. «Les conditions de jeu vont changer, rappelle le capitaine. Il n'y aura pas de vent, la luminosité sera égale. Il n'y aura aucun paramètre extérieur pour perturber. La terre sera un peu plus rapide, les filières de jeu seront sans doute plus courtes.» Et afin de se préparer au mieux à cet immense défi, les Bleus, privés eux de Masters à moins d'un exploit, passeront plus de jours de stage ensemble. «On se retrouvera une dizaine de jours avant la finale», conclut Clément.
F. B.
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