L'éducation d'un fée et Harold et Maude

L’éducation d’une fée et Harold et Maude

Tout d’abord, lors de la fin de l’écoute du film Harold et Maude et à la fin de ma lecture du livre l’éducation d’une fée, je me suis questionné sur les agissements du monde d’aujourd’hui. Je me suis d’abord demandé pourquoi la société d’aujourd’hui n’accepte pas les différences. Il faut absolument faire des gens normaux si l’on ne veut pas se faire juger. Le jugement est tellement rendu simple à exercer dans notre société. Les personnes faisant parties de la société ont peur de voir ce que les différences peuvent apporter, autant en bien qu’en mal, dans la société. C’est autant vrai dans les relations amoureuses ou que d’en celle d’amitié. Dans l’éducation d’une fée écrite par Didier van Cauwelaert et l’œuvre cinématographique Harold et Maude réalisée par Hal Ashby ne fait pas exception au jugement parce que les différences, les conventions sociales et les relations sont en période instable tout comme dans notre temps. De plus, l’enchantement de la vie part très vite de nos vies. Les enfants n’ont plus le droit de rêver et dès qu’on adulte à envie de rester enfantin, il se faut dire de vieillir afin de respecter le cadre inculqué par la société. Donc, j’écrirais à propos des conventions des relations qui ne font pas l’affaire de tous et de l’enchantement perdue de la société.

Pour débuter, lorsque moi-même j’étais enfant, j’étais dans l’innocence et dans la fantaisie que seul un jeune enfant peut vivre. Je m’inventais des jeux ou je me battais contre des dragons ainsi que des vilains monstres et à la fin de chaque scénario, je gagnais de manière glorieuse. Dans l’éducation d’une fée, le jeune Raoul est sous l’enchantement des fées créées par Nicolas, son père adoptif. Il vit dans l’innocence et l’espoir qu’une fée réalise ses vœux les plus chers. Du même coup, Raoul et Nicolas ont amenés la petite Irakienne nommée César dans le monde féérique. Le seul moyen d’être heureux c’est de rester jeune dans son cœur. J’ai vraiment trouvé merveilleux que dans les deux œuvres, le fait de vivre avec l’enchantement rende les personnages heureux. Par exemple, La vieille Maude est complètement détachée des lois et des conventions sociales de la société. Dans une séquence du film, Maude dit une phrase qui m’a tout simplement marquée : << Le monde aime les cages>>. Cette séquence démontre toute l’importance de la vie qu’accorde Maude à son monde de vie. Elle veut vivre sa vie comme elle le veut et non dans la prison quotidienne des vies d’aujourd’hui.  Elle est toujours heureuse et j’ai trouvé qu’elle s’invente un monde dans lequel elle seule peut gouverner et imposer ses bonheurs quotidiens. Prenez par exemple la famille La Sarre dans l’éducation d’une fée, le père à vue les pires drames. Cette famille ne veut plus et ne peut plus s’imaginer un monde avec des rêves. Le petit Ludovic Sarre, l’ami du petit Raoul a déjà perdu toute son innocence et il est presque un adolescent alors qu’il n’est qu’un gamin. Je trouve très tristes que les enfants ne peuvent pas rester seulement des enfants. C’est un peu comme les jeunes filles qui se maquillent dès l’âge de 8 ans. Dans l’éducation d’une fée, la citation suivante m’a fait grandement réfléchir <>P.221. Donc, avec cette citation, l’auteur démontre que la vie est enchantée, car il faut vivre avec ses rêves et selon ses désirs.  

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