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L'existence de la conscience

Commentaire d'oeuvre : L'existence de la conscience. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2014  •  Commentaire d'oeuvre  •  430 Mots (2 Pages)  •  621 Vues

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I - L’existence de la conscience

« Je » = distinction des animaux

Le sujet est un être capable de se pense. A l’état d’enfant il ne faisait que se sentir, maintenant il se pense.

« Il n’y a qu’une manière pour une conscience d’exister, c’est d’avoir conscience qu’elle existe » Jean Paul Sartre

« Je ne me pense que part le monde » Alain

L’Homme se représente, c’est une idée de lui-même, une substance pensante.

« Ma conscience fait exister le monde » Jean Paul Sartre

« Qui dit esprit dit avant tout conscience » Bergson

Le psychique c’est ce qui concerne la vie mentale, dans ses aspects conscients et/ou inconscients.

« Le moi n’est pas maitre dans sa propre maison » Freud

« Le rêve est le gardien du sommeil » Freud

L’intersubjectivité consiste à instaurer une communication entre plusieurs sujet de sorte qu’aucuns d’entre eux ne soit assimilé à un objet.

« C’est autrui qui m’a fait être » Jean Paul Sartre

La conscience est un trait d’union entre ce qui à été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l’avenir. C’est un mouvement permanant, en effet elle est constituée d’états qui se succèdent indéfiniment.

Ces états sont en général d’ordre psychologique (émotion, sentiment). Mais ce sont aussi des états mentaux (compréhension).

p 35 « Toute conscience est conscience de quelque chose » Husserl

Cette nécessité pour la conscience d’exister pour autre chose que soit, Husserl la nomme « intentionnalité ».

La conscience morale c’est un guide, un juge, une voix qui vous oblige ou interdit. C’est un principe axé sur le bien ou le mal.

p 25 Albert montre l’importance d’exister en tant qu’homme et de se révolter pour sa dignité.

« Connais-toi toi-même » Socrate, mais pour cela il faut aussi se regarder précisément.

Peut-on douter de l’existence du sujet en tant que tel ?

Nietzsche pense que l’homme est « quelque chose qui pense ».

l’être triste n’est pas un être tout à fait que je me donne.

l’être de la tristesse m’échappe par et dans l’acte même par quoi je m’en affecte.

Le sujet existe en tant qu’être conscient capable de conscience de soit, du monde extérieur et volontaire dans ses actions. Dès qu’un enfant se pense il devient sujet.

« Il me semble que pour lui une lumière

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