Commentaire sur un Extrait De "Encyclopédie Ou Dictionnaire Raisonné Des Sciences" de Diderot et Alembert
Mémoires Gratuits : Commentaire sur un Extrait De "Encyclopédie Ou Dictionnaire Raisonné Des Sciences" de Diderot et Alembert. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dodonina • 6 Novembre 2012 • 313 Mots (2 Pages) • 6 581 Vues
Article "Société", EXTRAIT De "Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences", DIDEROT et d'ALEMBERT.
Le texte qui nous est présenté est un article tiré de "Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences" éditée de 1751 à 1772 sous la direction de Diderot et d'Alembert, deux écrivains philosophes du mouvement des Lumières.C'est un extrait qui traite de la vie de l'Homme dans la société dans lequel les auteurs expriment les avantages et les bienfaits de la vie en groupe au détriment de l'individualisme.
Ainsi, nous pourrions nous demander comment Diderot et d'Alembert prônent-ils une vision péjorative de la solitude pour au contraire favoriser le collectif.
Pour répondre a cette problématique, nous allons d'une part, nous intéresser au point de vu des philosophes en partie du collectivisme. D'autre part, nous verrons la manière dont ils s'y prennent pour faire adhérer le lecteur à leur point de vu.
Tout d'abord, les auteurs n'hesitent pas à faire comprendre leurs ressentis et leurs pensées.
En effet, nous pouvons remarquer dès le début du texte que la "morale" ne se fait pas attendre et que "les hommes sont faits pour vivre en société".
Cette idée nous est montrée à travers plusieurs catégories de groupes sociaux.
Plusieurs arguments sont donc utlisés pour convaincre le lecteur.
En premier lieu, Diderot et D'Alembert pensent que l'individu a été créé pour vivre en groupe car il n'est pas en mesure de vivre seul. Pour cause, "Dieu aurait donné à chacun d'eux des qualités propres et suffisante" pour ce mode de vie.
Les philosophes sont assurés que tout ceci est bel et bien une volonté du "Créateur" à unir les hommes de ce monde. Les "facultés", les "faiblesse", les "besoins".. en sont une preuve.
En second lieu, les auteurs jugent l'homme comme incapable de "conserver sa vie" et d'évoluer s'il est livré à lui même en dehors de la société.
Ils prennent pour exemple un enfant, qui, sans l'aide d'une personne, ne pourrait rien entreprendre ou... [continue]
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