Victor Hugo, "Mes deux filles" : Comment V.Hugo crée la célébration de l’amour paternel dans un cadre naturel bienveillant ?
Commentaire de texte : Victor Hugo, "Mes deux filles" : Comment V.Hugo crée la célébration de l’amour paternel dans un cadre naturel bienveillant ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tttyy1341 • 3 Mai 2023 • Commentaire de texte • 589 Mots (3 Pages) • 486 Vues
Introduction : Victor Hugo est un écrivain, dramaturge, poète, et homme politique né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris. Il est l’un des plus grands écrivains français.
Les Contemplations est un recueil de 158 poèmes rassemblés en 6 livres que Victor Hugo a publié en 1856. C’est un recueil d’inspiration autobiographique, écrit après la mort Léopoldine, la fille du poète. Les Contemplations sont un recueil du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort et du deuil. « Mes deux filles » est un poème qui concerne V.Hugo. Le lecteur sait également qu’une de ses filles est décédée peu de temps après son mariage. C’est un poème court, constitué d’une strophe de 10 vers qui sont en alexandrin. Le poème représente le regard du père sur les enfants ?
Problématique : Comment V.Hugo crée la célébration de l’amour paternel dans un cadre naturel bienveillant ?
Lecture de texte
Présentation des axes d’analyse :
I . Les deux petites filles : sœurs et créatures délicieuses v1 à v5
II . L’oeil de l’amour paternel v6 à la fin
I ; Les deux petites filles : sœurs et créatures délicieuses
V.1 - Cadre spatio temporel : précisé d’un hémistiche à l’autre . Image du « clair obscur » qui annonce l’aube, précisé à la suite : crépuscule puisque c’est le soir charmant qui tombe ; « frais » et « soir charmant » : deux adjectifs épithètes qui représente un moment positif, paisible.
V.2 – Apparition des protagonistes du poème qui ne sont pas nommées autrement qui « l’une et l’autre » mais que l’on reconnaît comme les enfants du poète grâce au titre. Comparaison avec le cygne et avec la colombe, deux oiseaux blancs, majestueux et gracieux pour le cygne, le blanc représente la pureté.
V.3 - « belles » insistance sur la beauté qui avait déjà été sous-entendue par la comparaison avec les deux oiseau. « joyeuses » idée de bonheur qui rappelle qui rappelle le charmant et le frais paysage du premier vers. « belles » et « toutes deux » liées par des caractéristiques très positives. « O douceur » apostrophe, marquée par l‘exclamation, mot évoqué sans article.
V.4 - « voyez » pris à partir du lecteur . A nouveaux deux hémistiches construits de la même façon avec la grande sœur et la petite sœur, la seule chose qui différencie ces deux petites filles exquise est l’âge .
V.5 – Jeu d’allitération qui fait résonner encore le mot sœur avec les « s ». Le mot « seuil » marque la rupture à l’hémistiche et annonce le passage dans la deuxième partie de poème.
II . L’œil de l’amour paternel
V.6 - « Un bouquet d’œillets blancs » le mot blanc rappel la pureté comme dans le vers 2, « longues tiges frêles » représente la sensibilité des filles
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