Remise en question de la passivité de la volonté humaine

Remise en question de la passivité de la volonté humaine :

L'auteur commence par remettre en question l'idée que notre volonté est simplement déterminée par des circonstances extérieures. Il suggère que cette conception réduit notre comportement à un état de passivité.

Affirmation de l'activité de la volonté humaine :

Ensuite, l'auteur affirme que notre volonté n'est pas simplement passive, mais joue un rôle actif en sélectionnant et en interprétant les circonstances comme des motivations pour agir.

Rejet de la relation de causalité stricte :

L'auteur rejette l'idée d'une relation de causalité stricte entre les circonstances et notre volonté. Il soutient que notre capacité de réflexion nous permet de transcender les déterminations extérieures.

Critique de la tentative de déresponsabilisation :

Par la suite, l'auteur critique ceux qui attribuent leur comportement à des circonstances extérieures, les accusant de chercher à se décharger de leur responsabilité morale.

Affirmation de la responsabilité individuelle :

L'auteur souligne que chaque individu est le véritable agent de ses actions et que notre conduite est toujours la nôtre, influencée mais pas déterminée par des facteurs externes.

Insistance sur le pouvoir de la volonté humaine :

Enfin, l'auteur insiste sur le fait que les circonstances n'ont de pouvoir sur nous que celui que nous leur accordons nous-mêmes, mettant en avant l'importance de notre propre volonté et de notre capacité à exercer un contrôle sur nos actions.

Ces mouvements révèlent une progression dans la réflexion de l'auteur, allant de la remise en question de la passivité de la volonté humaine à l'insistance sur

User

"On dit volontiers : mon vouloir a été déterminé par ces "mobiles", circonstances, excitations et impulsions.

La formule implique d'emblée que je me sois ici comporté de façon passive.

Mais, en vérité, mon comportement n'a pas été seulement passif ; il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c'est mon vouloir qui a assumé telles circonstances à titre de mobiles, qui les fait valoir comme mobiles.

Il n'est ici aucune place pour la relation de causalité. Les circonstances ne jouent point le rôle de causes et mon vouloir n'est pas l'effet de ces circonstances.

La relation causale implique que ce qui est contenu dans la cause s'ensuive nécessairement.

Mais, en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances.

Dans la mesure où l'homme allègue (1) qu'il a été entraîné par des circonstances, des excitations, etc., il entend par là rejeter, pour ainsi dire, hors de lui-même sa propre conduite, mais ainsi il se réduit tout simplement à l'état d'essence non-libre ou naturelle, alors que sa conduite, en vérité, est toujours sienne, non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose qui existe hors de lui.

Les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même."

ChatGPT

Voici les mouvements présents dans le texte :

Remise en question de la passivité de la volonté humaine :

L'auteur commence par remettre en question l'idée que notre volonté est simplement déterminée par des circonstances extérieures. Il suggère que cette conception réduit notre comportement à un état de passivité.

Affirmation de l'activité de la volonté humaine :

Ensuite, l'auteur affirme que notre volonté n'est pas simplement passive, mais joue un rôle actif en assumant les circonstances comme des mobiles et en les faisant valoir comme tels.

Rejet de la relation de causalité stricte :

L'auteur rejette l'idée d'une relation de causalité stricte entre les circonstances et notre volonté. Il souligne que notre volonté n'est pas l'effet mécanique des circonstances, mais plutôt qu'elle peut les influencer.

Possibilité de transcender les déterminations externes :

L'auteur souligne que la réflexion humaine permet de dépasser les déterminations imposées par les circonstances, suggérant ainsi une capacité humaine à agir au-delà des influences extérieures.

Critique de la déresponsabilisation :

L'auteur critique ceux qui prétendent être entraînés par les circonstances, les excitations, etc., les accusant de chercher à se décharger de leur propre responsabilité morale.

Affirmation de la responsabilité individuelle :

Enfin, l'auteur souligne que la conduite de l'homme est toujours la sienne, et qu'elle n'est pas déterminée par des forces extérieures mais par sa propre volonté et son propre pouvoir de choix.

Ces mouvements mettent en avant une progression dans la réflexion de l'auteur, passant de la remise en question de la passivité de la volonté à l'affirmation de la responsabilité et du pouvoir de choix individuel dans la détermination de nos actions.

User

peut tu me donner un plan de commentaire de texte en philo pour ce texte

ChatGPT

Bien sûr, voici un exemple de plan pour un commentaire de texte en philosophie basé sur le texte que vous avez fourni :

I. Introduction

A. Présentation du texte et de son contexte philosophique

B. Annonce de la problématique et du plan

II. Analyse du concept de volonté et de détermination

A. Remise en question de la passivité de la volonté humaine

B.

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