Les sonnets de Louise Labé ne font-ils que l’éloge de la passion amoureuse ?
Dissertation : Les sonnets de Louise Labé ne font-ils que l’éloge de la passion amoureuse ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jadecde22 • 27 Avril 2023 • Dissertation • 582 Mots (3 Pages) • 260 Vues
Les sonnets de Louise Labé ne font-ils que l’éloge de la passion amoureuse ?
Louise Labé ( 1524-1566 ) est l’une des rares autrices, mais la plus célebredu 16eme siècle, dans ses 24 sonnets elle nous parle de l’amour éprouver par les femmes et les tourments quil peut entrainer, tout en nous recontant ce qu’elle a vraiment vécu.
Dans un premier tant nous allons parle de la vision de l’mour selon Louise labé puis d’un amour impossible et contradictoir pour elle
D’abord, Dans ses poèemes Louise labé débat des idées reconnus et courantes, elle décrit l’amour comme une bataille, un supplice, et quelque chose qui peut créer un sentiment extatique ainsi qu’un sentiment de douleur. Elle personnife l’amour avec un A majuscule et tout le champs lexical de la passion y est deployé « aimer », « désir », »passion »...
De plus, Elle utilise un style qui donne une ambiguité à l’identité de la narratrice. Dans quelques uns de ses poèmes, on ne peut pas définir ses sentiments et ni coment l’amour l’affecte. Les rôles de l’homme et de la femme sont mélanges. Selon elle la femme n’est plus l’objet du désir masculin. C’est le contraire, l’homme devient objet de désir feminin. Elle ne transmet pas de haine, elle cherche l’égalié et l’équilibre .
Tout d’abord, la structure de ses sonnets est contradictoire, elle balance entre la joie du ressenti et la tristesse du à une non réciprocité des sentinement. Elle jongle entre douleur et plaisir, jouissance et désillusion.
De plus l’amour n’est pas uniquement un désir et un plaisir, la souffrance s’y mêle aussi. Le champs lexical de la souffrance est donc deployé : « noircir », « impuissance », « mourir », « peine »...Sa passion dévorante semble avoir été déçu. Les plaintes, les suppliques et la douleur, qui semble presque être une douleur physique. Elle ne voit plus l’amour comme quelque chose de merveilleux mais comme un sentiment cruel car il est parfois à sens unique. Les douleurs qu’elles à subit sont tellement fortes et nombreuses qu’elle se pense même incapable de pouvoir laissé place à une douleur nouvelle.
On peut encore plus aperçevoir cette contradiction dans son sonnet « je vis, je meur ». Elle décrit des effets contradictoir « joie », « plaisir », « bien », qui s’opposent à « ennuis », « tourement », « douleurs ». Louise Labé continue ses contradictions avec des sensations physiques. La chaleur (« me brûle », « chaud extrême ») et le froid (« froidure »). Le mou (« trop molle ») et le dur (« trop dure »). Le sec (« je sèche ») et le moullié (« me noie »). Louise Labé dépeint dans « je vis, je meurs » un amour extrême, symbolisé par les contradictions que nous retrouvons tout au long du sonnet .
Les sonnets de Louise Labé font éloge de passion amoureuse, dans tous elles parles d’amour, qu’ils se déroule bien ou alors qu’il soir semmer d’embuche. Elle nous parle de ses expreriences personnelles, mais l’être aimée n’est pas nommé dans ses poème ce qui laisse ses sonnets plus universel. Ainsi ses œuvres poètiquestraduisent la passion amoureuse décrivat les diverses émotions qui traverse la femme amoureuse et ce qu’elle vit.
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