La Bruyère, Les caractères
Commentaire de texte : La Bruyère, Les caractères. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lost77 • 25 Mai 2023 • Commentaire de texte • 620 Mots (3 Pages) • 141 Vues
La Bruyère les caractères
Livre 6, remarque 21, p113 « de la ville »
Introduction :Le livre 7 porte sur les habitants de la ville plus particulièrement les Bourgeois de Paris.Il ferais souvent des professions juridiques=Noblesse de Robe.
Théme de la remarque 21 : Le thème abordée est la comparaison entre la culture des ruraux et celle des citadins.
Structure :
1-13 : constat de l’ignorance des citadins pour le monde rural.
13-fin : mépris des citadins pour les ruraux.
Problématique : Comment La Bruyère dénonce t’il le méprit des citadins pour les ruraux ?
Explication linéaire :
Pour commencer nous pouvons relever la présence de présent de vérité générale avec « on s’élève ». Ceci donne une impression de réflexion général.
Ligne 315 il s’agit de la première évocation avec « on ».
Le 1er constant pouvant être établi est que les citadins ne connaissent pas le monde rural.
L’auteur prend parti grâce à l’adjectif « grossière » qui montre qu’il juge les citadins.
Les bourgeois on des prétentions d’après le verbe « s’élevé » ligne 314.
Nous pouvons constater à la ligne 315 qu’il se moque des bourgeois avec l’adverbe « à peine ».
L’auteur fait exprès de comparer des plantes qui ne se ressemblent pas pour monter la méconnaissance des citadins et les ridiculisés. Il valorise donc les ruraux.
A la ligne 318 « on se contente » montre que les citadins ne prêtent pas attentions à ce qui les entourent.
Nous pouvons aussi constater le présence d’une interdiction « Ne parlez à » qui montre que l’auteur s’adresse à nous et nous implique dans le récit.
Ligne 319-320 : énumération de terme technique rurale pour monter que les citadins sont ignorants. Ceci peut être appuyer par la présence d’une hyperbole ligne 320-321 pour monter qu’il ne comprenne pas les thermes.
Le citadin est donc selon l’auteur de mauvaise foi.
A la ligne 321 il y a la présence d’un impératif pour nous impliquer dans le récit.
La présence d’un parallélisme entre les citadins et les ruraux peut être relever ligne 321-322-323 car les deux vocabulaires soulignent qu’il y a un fossé entre deux monde qui ne se comprenne pas.
Selon les citadins eux même connaissent le monde car ils sont mondains.
Ligne 324 : « encore » connotation péjorative.
La Bruyère a une vision pessimiste de l’homme.
Selon lui la nature est pure et l’être humain corrompu.
La nature désigne la société et La Bruyère utilise des termes élogieux pour parler de la nature. (ligne 325)
La Bruyère pense donc que le monde rurale est plus authentique et moins hypocrite que celui des citadins.
« Leurs professions, leurs talents » montre que les citadins sont tournés vers eux même.
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