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Interprétation littéraire : A l'ouest rien de nouveau, Erich-Maria Remarque

Commentaire de texte : Interprétation littéraire : A l'ouest rien de nouveau, Erich-Maria Remarque. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Octobre 2023  •  Commentaire de texte  •  959 Mots (4 Pages)  •  396 Vues

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Comment le texte de Remarque fait il la démonstration de l’absurdité des combats ?

Ce texte est un extrait issu de A l’ouest rien de nouveau, écrit par Erich-Maria Remarque en 1929. Lors de cet extrait le narrateur,Paul Baümer engagé volontaire dans l’armée allemande nous fait la description dans un récit détaillé des combats pendant la première guerrre Mondiale. Il évoque les abominations de celle ci et la manière dont les soldats le vivaient au quotidien. Nous allons donc démontrer de quelle facon le texte de Remarque fait il la démonstration de l’absurdité des combats. Premièrement, nous traiterons la violence produite sur les champs de bataille et deuxièmement nous verrons l’absurdité qui se cache sous celle ci.

Dans un premier temps,Remarque a travers Paul baumer nous fait la description de ce que les soldats vivent au quotidien,on remarque d’emblée des termes a connotation négatives « croutes » « anéantie » «  mortellement » ces mots servent à qualifier l’état des soldats. La violence que subissent les soldats durant la première guerre mondiale est détaillée et plutot cru. Les soldats sont les princiales victimes de cette violence et celle ci est à la fois psychologique : «  notre pensée est anéantie »,l’idée est renforcée par la question rhétorique « sont-ce des semaines,des mois ou des années qui passent ainsi ? De simples journées.» Cette affreuse situation qui engendre une qualité de vie médiocre associée au manque de leur famille et a la distance avec celle ci ne fait que rajouter un certains poids dans la santé mentale des belligérants. ; Et physiques « nous sommes mortellements las »,  « nos visages sont pleins de croutes », on le remarque également avec l’accumulation de blessures corporelles « les yeux sont enflammés,les mains déchirées,les genoux saignent,les coudes sont rompus. » Dans ce contexte,le meutre,la souffrance,la mort,la fatigues sont quotidiens et pour raconter cela Remarque utilise le présent de narration ,il nous permet de nous placer a la place du personnage et de plongée le lecteur dans les champs de guerre tel qu’on l’observe notamment très explicitemment de la ligne 18 à la ligne 26. Cela constitue une accumulation de ce que l’on peut voir sur les champ de batailles,toutes nous rammenant à une deux choses : le sang,et la barbarie ; « les deux pieds on été fauchés »,  « les moignons éclatés », « se trainent en trébuchant jusqu’au prochain trou d’obus »,  « trainant derrière lui ses genoux brisés », « tandis que ses entraillent coulent par-dessus ses mains » «  nous voyons des gens sans bouches,sans machoires inferieurs,sans figure », «  tiens serrée avec les dents l’artère de son bras, « le crane a été enlevé ». La guerre entraine tout sur son passage et ceci est nottament marqué par le champ lexical de la destruction « anéantie » «  déchirées » « mort » « fauchées » «  éclatés » « brisés » et de la violence «  attaque » «  frapper » « coups de feu » «  sang ».

On retrouve dans cet etxtrait un certain regitre pathétique car l’évocation de toutes ces atrocités nous ammènent à éprouver,nous, lecteur,de la pitié pour ces soldats.

Les soldats sont sans répis et n’ont pas

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