Hugo, « Les luttes et les Rêves », Les Contemplations 1856

Commentaire de texte :

Hugo, « Les luttes et les Rêves », Les Contemplations 1856

Le XIXème siècle voit naître de nombreux nouveaux mouvements littéraires tel que le Romantisme, le mouvement auquel appartient Victor Hugo. Victor Hugo est un poète et dramaturge considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Durant cette période romantique, Victor Hugo a écrit le recueil Les Contemplations dont nous allons étudier le poème complet, publié en 1856, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » issu du livre III « Les luttes et les rêves ». Ce poème se compose de sept quatrains alternants décasyllabes et pentasyllabes en rimes croisées. Dans ce poème, l’auteur Victor Hugo dénonce l’attitude très répandue de mépris et de rejet de certains êtres en affirmant avec force son affection pour eux afin que son lecteur modifie son regard. Mais comment Victor Hugo nous invite-t-il à corriger nos préjugés ? Pour répondre à cette problématique, nous consterons dans une première partie que l’auteur utilise l’image de l’araignée et de l’ortie pour illustrer ces préjugés de rejets à l’égard de certains êtres. Puis, dans une seconde partie, nous constaterons que Victor Hugo s’oppose à ces idées de préjugés et plaide la cause de ces êtres, de ces personnes rejetés et méprisés.

Pour illustrer les idées de mépris et de préjugés de l’opinion commune, l’auteur Victor Hugo établi dans un premier temps un paradoxe.

Ensuite, pour représenter les êtres, l’ortie et l’araignée à l’image de la pensée de la population, de façon négative, l’auteur établie deux métaphores « l’ortie est une couleuvre, L’araignée un gueux ».

Enfin, Victor Hugo dénonce l’attitude des « Passant », des préjugés de la société vis à vis de certains êtres.

Premièrement, l’auteur prend position dans le poème.

Puis, l’auteur Victor Hugo tente de susciter la compassion chez le lecteur pour les êtres tels que l’araignée et l’ortie, souvent dédaignées et ignorées par la société.

Enfin, Victor Hugo souhaite que la société et le lecteur se remettent en question, que les idées de l’opinion commune changent.

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