Lettre de JJ Rousseau à Mme de Varens
Lettre type : Lettre de JJ Rousseau à Mme de Varens. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mcombeau37000 • 6 Mars 2024 • Lettre type • 411 Mots (2 Pages) • 144 Vues
Chère Madame de Warens
Je me nomme Jean Jacques Rousseau, je suis au milieu de ma seizième année. Je m’adresse a vous en ce jour afin de plaider votre bienveillance et votre hospitalité, voyez-vous mes chers parents, ces êtres que je chéris m’ont envoyé chez un maitre-graveur à Geneve afin que je devienne son apprenti seulement, je ne m’y sentais pas à ma place et j’y étais malheureux. Alors je pris la décision de m’enfuir de cet enfer oppressant. Je me suis refugié chez le curé du village, plaidant, et me mettant à genoux, je le suppliais de m’héberger.
Cependant ce dernier refusa, me laissant seul et dépourvu de solutions. Le curé fit quand même preuve de clémence en me donnant votre lieu d’habitation et me chanta les louanges d’une femme gentille, généreuse, agréable et d’un caractère d’une douceur sans nom. A ses yeux, vous apparaissez comme une femme dépourvue de défauts. Je ne puis m’empêcher d’écouter ce dernier non sans une lueur d’espoir.
Alors je m’en remets à vous Madame de Warens et j’ose espérer que les gens ont raison et que vous êtes une femme bienfaisante. Alors je me risque à vous le demander Madame, acceptez-vous de me loger et de partager votre quotidien avec le mien pendant quelques temps ? ienveillance et votre hospitalité, voyez-vous mes chers parents, ces êtres que je chéris m’ont envoyé chez un maitre-graveur à Geneve afin que je devienne son apprenti seulement, je ne m’y sentais pas à ma place et j’y étais malheureux. Alors je pris la décision de m’enfuir de cet enfer oppressant. Je me suis refugié chez le curé du village, plaidant, et me mettant à genoux, je le suppliais de m’héberger.
Cependant ce dernier refusa, me laissant seul et dépourvu de solutions. Le curé fit quand même preuve de clémence en me donnant votre lieu d’habitation et me chanta les louanges d’une femme gentille, généreuse, agréable et d’un caractère d’une douceur sans nom. A ses yeux, vous apparaissez comme une femme dépourvue de défauts. Je ne puis m’empêcher d’écouter ce dernier non sans une lueur d’espoir.
Alors je m’en remets à vous Madame de Warens et j’ose espérer que les gens ont raison et que vous êtes une femme bienfaisante. Alors je me risque à vous le demander Madame, acceptez-vous de me loger et de partager votre quotidien avec le mien pendant quelques temps ?
Veuillez recevoir Madame de Warens mes respectueuses salutations.
Jean Jacque Rousseau
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