En quoi Zola dresse-t-il un portrait politique péjoratif de Plassans dans La fortune des Rougons ?

Plassans fait, dans son roman La fortune des Rougons, de la ville fictive de Plassans un élément principal, la décrivant et l’analysant sous tous ses angles avec un œil naturaliste. Au début du Chapitre 3, l’auteur entame ainsi un portrait politique de Plassans à la moitié du XIXème siècle, décrivant les rouages se cachant derrière cette ville de province.

En quoi Zola dresse-t-il un portrait politique péjoratif de Plassans ?

Tout d’abord, Zola explique que P

Résumé :

Le 30 janvier 2024, les députés ont adopté le projet de loi visant à constitutionnaliser le droit à l’avortement. Le texte fut voté par la majorité des députés : 493 pour contre seulement 30 s’y opposant. Les différents partis au sein de la NUPES ont accueilli positivement cette proposition, contrairement à la droite et à l’extrême droite, davantage divisées. Les plus réticents s’interrogent, en effet, sur la possibilité d’un allongement de la durée légale pour un avortement ou alors sur la « clause de conscience » concernant les soignants. D’autres pensent qu’inscrire ce droit dans la constitution n’aurait pas de sens constitutionnel ou que ce droit n’est pas en danger en France. Malgré cette victoire pour le gouvernement, il reste encore une étape cruciale : le vote du Sénat. En effet, le groupe dont fait partie Renaissance n’y est pas majoritaire et les groupes de droite siégeant au Sénat ne semble pas prêts à voter en faveur de cette proposition, n’étant pas d’accord avec la notion de « liberté garantie » notamment. Pour finir, la proposition doit être votée par le Congrès à au moins ⅗ des voix, ce qui représente un défi pour le gouvernement.

Choix de l’article :

Selon moi, cet article est le reflet d’un combat politique et social très important et sans doute historique. Le droit à l’avortement a été difficilement acquis et il s’agit aujourd’hui presque d’un symbole : celui de l’émancipation des femmes, de la liberté de choisir. Aujourd’hui, ce droit est attaqué dans des pays tels que les États-Unis et parfois mal appliqué en France. Les femmes venant de régions isolées et rurales ont davantage de difficultés à avorter que celles vivant dans des grandes villes. Tous les médecins ne sont pas d’accord pour pratiquer ce genre d’interventions et il est parfois difficile de pouvoir avoir recours à un IVG avant la fin de la durée légale. Constitutionnaliser ce droit permet de remédier à cela et de renvoyer un message fort quant aux droits des femmes. Cette modification de la constitution représente donc un enjeux majeur et il est important pour moi d’aborder ce sujet, en tant que femme mais aussi en tant que citoyenne. Les votes qui auront lieu dans les jours à venir auront un impact social, politique et même économique important et concerneront directement notre génération.

Questions polémiques :

Le droit à l’avortement est-il en danger en France ? Si oui, est-il tout de même pertinent de se baser sur le modèle des États-Unis ?

Constitutionnaliser le droit à l’avortement pourrait-il apporter des changements concrets pour les femmes ou peut-on

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